On peut dire qu’Enzo a appris à patiner pratiquement en même temps qu’il apprenait à marcher. Il est à peine exagéré de dire que sa première paire de patins (en l’occurrence à roulettes) a suivi de peu sa première paire de souliers. Et d’emblée cannes, crosses et balles ou pucks ont suivi. Et le voici devenu hockeyeur en herbe. Devant la maison ou à l’intérieur (mais seulement dans le hall d’entrée et la cuisine), seul ou avec son papa il a joué, joué et joué et il joue encore au hockey. Depuis septembre 2011 il participe aux séances d’entraînement de l’école de hockey du HC Ajoie. Cette saison, tous les lundi je l’aide à s’équiper, je le conduit à l’entraînement, puis je vais le rechercher. Le mercredi, nouvelle séance d’entraînement, avec cette fois son papa parmi les entraîneurs. Voilà la toile de fond aux faits et événements relatés parfois dans cette chronique.
Chouette, après l’entraînement, on partage une tarte à l’occasion de l’Épihanie.
Eh bien, il semble bien qu’on n’a pas encore tout vu. Il ne me paraît pas impossible que Robin se mette à manifester quelque envie de suivre les traces de son frère… et de son papa. De plus en plus souvent il s’empare d’une des mini-crosses de son frère et se joint à ses jeux, un large sourire illuminant son visage. Enzo en est d’ailleurs ravi. Et il semble bien décidé à encourager son frère dans cette voie.
Entrainement from JFrC on Vimeo.
Indéniablement se dépenser physiquement convient bien à Enzo. Parfois tout de même il semble en avoir largement sa dose, en particulier quand grippe, refroidissement, conjonc- tivite etc l’affaiblissent. Alors un sommeil réparateur fait du bien… et ce n’est pas son papa qui dira le contraire :
😉