Comme nous en avons désormais pris l’habitude, c’est avec un certain délai de retard que nous fêtons les 65 ans de Grand-maman. Cette année encore, nous nous retrouvons tous dans la région neuchâteloise, de manière à équilibrer les distances à parcourir par ceux qui viennent de Genève ou ceux qui rentrent de vacances des Alpes vaudoises. En l’occurrence nous nous retrouvons tous à la Brasserie Le Cardinal à Neuchâtel. Bien placée au centre de la vieille ville, pas loin des parkings du bord du lac mais très accessible depuis la gare, elle a en outre un cachet indéniable et une ambiance chouette.
Même en l’absence de Philippe, nous sommes nombreux à table.
Malo et Céleste sont de la partie ; ils ont leurs propres chaises en bout de table et ne manquent pas d’attirer l’attention de tous ceux qui entrent ou sortent.
Sitôt installé, Malo fait honneur au dîner qui lui est servi !
Céleste préfère se débrouiller comme une grande avec un morceau de pain.
Après le repas, sous le regard aussi attentif que curieux de tous ses (petits-)enfants, Grand-maman déballe les cadeaux qu’elle a reçu.
La brasserie est pleine de monde, néanmoins le service est efficace. Le repas est excellent, l’ambiance bon enfant. Petite balade dans les rues de la vieille ville après être sortis du restaurant. Sur la place Pury, un jongleur s’évertue à animer la rue. Il capte l’intérêt des enfants et essaie de leur transmettre quelques rudiments de sont art.
animation_ rue from JFrC on Vimeo.
Après ces bons moments passés ensemble, l’heure est déjà venus de nous séparer. Fabien et Sabrina rentrent en train à Genève ; Pauline et Vincent rentrent en voiture et profitent de faire dormir les jumeaux ; Jérôme et Aurélie rentrent défaire leurs bagages. À l’aller, nous étions venus en train avec Enzo et Robin. Au retour, bien entendu, Laura et Quentin se joignent à nous pour le voyage de retour.
Hâte d’être rentrés ou attentifs à être le premier à presser sur le bouton d’ouverture des portes ?
En cours de route, Robin a réussi à épater ses frère, cousine et cousin. Voyant entrer en gare le train que nous attendons, il s’écrie :
– Eh, mais c’est l’ICN, ça !