Printemps à Nice, 11 au 13 avril 2018 – I. les vols

Depuis notre voyage à Amsterdam avec Laura et Enzo, plusieurs fois déjà, par exemple en jouant aux Lego ou en regardant des photos en parcourant le blogue, voire même en regardant passer les avions dans le ciel, il a été question de voyages en avion et le souvenir de notre séjour au Danemark est revenu sur la table. Voilà qu’une constatation s’impose : Robin, qui n’avait pas encore deux ans à ce moment-là, n’en a plus beaucoup de souvenirs. Malo et Céleste n’ont pas encore eu leur « baptême de l’air ». Autrement dit : Après nos vacances de Pâques avec Jérôme et famille, il serait  peut-être intéressant de faire une petite escapade de deux ou trois jours en avion avec Enzo (qui finirait bien pas se laisser convaincre), Robin et les jumeaux. Et du coup germe l’idée d’aller se faire envie de voire arriver les printemps par exemple à Nice. Une valeur sûre, non ?

Consultation des horaires, choix d’un logement, réservation des vols, l’affaire est vite dans le sac. Voici quelques reflets de cette escapade niçoise (voir aussi les prochains articles).

Arrivés en voiture au parking de l’Euroairport, nous nous rendons à l’aérogare.

 

Étonnés, intéressés et curieux, les petits deviennent des passagers presque modèles.

 

Et nous voici sur le point d’embarquer dans l’Airbus A-320.

Céleste est très à l’aise et heureuse d’être là.

Enzo tente de faire bonne mine à mauvais jeu. Il est quand même inquiet…

 

 

Assez rapidement, chacun trouve quelque chose à faire pour s’occuper.



L’avion de met à rouler, le décollage approche.

Nous avons décollé. Céleste admire le paysage vu de haut.

Enzo se rassérène un peu alors que Robin est très décontracté.

Malo se passionne pour les vignettes présentant les consigne de sécurité.

Or, ne voilà-t-il pas que Nice est sous la pluie !

Deux jours plus tard, vol de retour.

Nous attendons le bus pour l’aéroport qui est pris dans les embouteillages du vendredi soir.

Une fois passés les contrôles d’accès, chacun trouve sa place et son occupation.

Pour Enzo une stratégie spéciale : Il se concentre sur les préparatifs et le déroulement d’un match de foot (une sorte d’auto-hypnose qui doit lui faire oublier l’avion). Ça a l’air de fonctionner et en plus, il a gagné le match qu’il vivait dans sa tête !

 Quelques vue nocturnes splendides sur les régions que nous survolons. Hélas il n’est pas facile de les situer…

Le retour en voiture de l’aéroport à la maison se passera bien, les plus petits s’étant tout de suite endormis.

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