(voir l’article précédent)
Ce 5e anniversaire était le premier que Malo et Céleste pouvaient fêter aussi en-dehors du cercle uniquement familial, à savoir avec les copines et copains d’école. Or il fallait se rendre à l’évidence : Entre ceux que souhaitait inviter Malo et les copines/copains qui étaient sur la liste (c’est une image, bien sûr) de Céleste, c’est quasiment toute la classe des petits (1 H) qui était concernée. Ainsi donc, afin qu’il n’y ait pas de laissés pour compte, Pauline et Axel ont décidé d’inviter toute la classe.
Ce matin-là, j’amenais le jumeaux à l’école. En arrivant devant l’école, Céleste venait de dire à son frère :
- Non, Malo, ne cours pas. Grand-papa ne peut pas suivre avec ses deux jambes malades !
- Mais, non, Céleste, tu te trompes : Il n’a pas deux jambes ; il n’a qu’une jambe (?). Il n’a été opéré qu’à un seul genou ! (J’aime mieux ça !)
À peine ce dialogue terminé, entrant dans le bâtiment, les jumeaux ont droit à un accueil, de la part de leurs camarades de classe, particulièrement enthousiaste. Et que je me précipite vers eux, et que je leur donne du « Joyeux anniversaire », et que je te serre dans les bras, et que l’on s’attroupe à plusieurs en s’agrippant les un(e)s aux autres, et que j’en fais autant pour l’autre jumeaux… Un véritable délire, très démonstratif et très animé – à l’image de l’arrivée d’une idole auprès de ses fans ! Sophie, la maîtresse, en était tout éberluée !
Cet après-midi-là, aux Vieilles Oeuches, on se serait par moment cru à l’école, à en croire les images transmises par Pauline :

En amont, il y a bien des préparatifs… 
et assez de « munition »… 
…pour tout le monde. 
Voilà les invités… 
sages et attentifs… 
… bien alignés. 
Axel présente un kamishibaï 
Mais il y avait beaucoup d’énergie à canaliser et à dépenser :
Après cela, les temps forts que tous attendaient : le goûter et les cadeaux. (Cliquer une photo de la galerie, puis les faire défiler ; elles sont toutes au format horizontal !)
(Note du vieux ronchon de service :) Quelle chance que les photos ne soient pas (pas encore ?) sonorisées…
Mais ce soir-là, il y a une douzaine d’enfants qui se seront couchés fatigués, mais heureux. Même Enzo qui ce même jour avait un match de foot à Tramelan en soirée, auquel Axel l’a conduit et que son équipe a gagné !
PS : (Note du Grand-père un peu soucieux quand même :) Et que dire de l’état de fatigue des adultes-organisateurs… !



