Quentin ne marche pas encore, certes. Mais il aime se promener debout en se cramponnant à deux mains tendues d’adultes. En cela il suit bien le même chemin que tous les autres enfants. Et lui-aussi est titillé, voire défié, par la présence d’escaliers. Qu’y a-t-il de mieux en effet comme terrain d’exercice et d’escalade, que des escaliers !? Monter, par n’importe quel moyen, descendre de même (si possible sans tomber ni se faire mal, bien entendu), remonter, redescendre. Et voilà comment un petit Quentin devient un petit bonhomme exigeant beaucoup de vigilance, d’attention et de présence.
Passez ce petit film en boucle une bonne cinquantaine de fois (en coupant le son, car les dialogues Laura – Grand-maman ne sont pas aussi répétitifs) et vous aurez une idée de deux heures dans la matinée d’un Grand-papa.
Ah les escaliers ! Mais à quoi est-ce que ça sert de tant les gâter à Noël ou à leurs anniversaires ? Aucun jouet me rivalisera jamais avec un escalier, un lave-vaisselle ou un interrupteur de télévision !