Autres activités de vacances – début octobre 2019

Visite de la chocolaterie Camille Bloch à Courtelary

Parmi les autres activités de ces vacances d’automne, un concours de circonstance a fait que j’ai pu accompagner Jérôme, Laura et Quentin lors de leur visite à la chocolaterie Camille Bloch à Courtelary. Il y a une trentaine d’années que dans le cadre de l’école j’avais déjà visité cette entreprise avec des élèves. J’ai pu mesurer combien les conditions de telles visites d’entreprises ont évoluée dans ces dernières décennies.

Produit-phare de Camille Bloch : le Ragusa
Dans l’atelier dans lequel nous allons oeuvrer, tout est prêt… et ça sent bon le chocolat !
Le chocolat est tempéré dans les cuves. En place ! Prêt(e) ? Au travail !
Verser le chocolat noir dans le moule puis le faire égoutter. Mettre au frais.
Remplir avec le chocolat praliné, puis fermer par une couche qui fera le fond.
Reste plus qu’à lisser le fond et mettre au frais avant de démouler.
Nous réalisons une sorte de « maxi-ragusa » en forme de demi-cabosse de cacaoyer. (Qui s’avérera délicieux !)
Répit et détente le temps du dîner à la cafétéria des visiteurs
La partie circuit de visite s’avère assez interactive !

Dans cette partie, quelques plans de travail nous permettent de voir à l’ouvre des chocolatières ou chocolatiers réaliser à la main quelques phases-clé de la fabrication par exemple des « torinos »

Dernière étape avant l’emballage, le nappage.

De même que l’atelier du matin, le circuit de visite est intéressant et spectaculaire. Laura et Quentin sont captivés. Mais quant à moi, je ne peux m’empêcher de constater qu’on est bien loin – pour des raisons tout à fait compréhensibles – des visites « à l’ancienne » que j’avais vécues avec les élèves. Celles-ci commençaient sur le quai de déchargement des wagons à même la ligne de chemin de fer, menaient à travers les montagnes de sacs de jute de l’entrepôt, nous conduisaient entre les torréfacteurs, puis les mélangeurs et les broyeurs, longeaient ensuite les énormes conches avant d’en arriver aux longs alignements des machines qui façonnaient les divers produits selon leur nature et se terminaient par l’emballage et la mise en boîtes ou le conditionnement en cartons. On suivait vraiment de près chaque étape de la fabrication du chocolat.

Cette journée ne s’est pas terminée là, allez voir le récit de la suite sur le blogue des (in)Conus du Rosaire.

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La tribu de Pauline à l’Europapark

Pauline et ses enfants adorent l’Europapark ; ils en sont fans. L’éventail de l’offre en activités, la distance, le prix d’entrée et que sais-je encore leur semblent largement convaincants pour qu’ils y retournent tous les tantôt. Et à chaque fois, les plus petits sont enchantés d’avoir enfin accès à de nouveaux secteurs.

Voici, par le biais de plusieurs photos que m’a envoyé Pauline, quelques reflets de cette journée de vacances à Rust (D).

Toutes ces photos sont révélatrices du plaisir qu’ils y ont trouvé, chacun d’entre eux, adultes compris. Mais la dernière – ci-dessous – est à sa manière aussi éloquente en ce qui concerne l’engagement et la fatigue qui finit par en résulter !

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