Pour dire vrai, cette mise en train de Jordann s’est faite plus précisément le 30 avril. Mais comme elle était étroitement liée à un événement ayant eu lieu au début mai (voir l’article précédent), on se permet cette « licence poétique ».

La joie de Jordann de pouvoir à nouveau voyager en train ne sera pas trop ternie par ce qui aura tout de même gâché le plaisir de nombreux voyageurs qui étaient dans le même train : une panne en rase campagne peu avant Yverdon. Pour Fabien et lui (ce vendredi, Sabrina travaille ; elle les rejoindra en voiture à la fin de la journée), les conséquences ne seront pas trop graves. Ils auront une bonne correspondance à Bienne et arrivent à Courgenay avec une trentaine de minutes de retard sur l’horaire prévu.


Peut-être que le pique-nique emporté pour casser la croûte y aura contribué, toujours est-il que Jordann a été très sage durant le voyage et ne s’est pas impatienté.

Le but premier de ce voyage, c’était quand même la fête pour l’anniversaire des jumeaux. Mais il n’y aura pas eu que cela.



Attention ! N’allez pas conclure trop vite ! Quand Jordann joue longtemps et en s’impliquant beaucoup avec ses trams et petites voitures (par exemple), ou quand il va découvrir l’allure nouvelle de la place de jeux rénovée sur la route d’Airmont, ou encore quand il se défoule dans le trampoline ou sur la tyrolienne dans le jardin, Il n’x a pas forcément des photos pour en témoigner…


Quoiqu’il en soit, ce furent des moments de joie réciproque que de l’avoir chez nous et près de nous à Courgenay. D’ailleurs, à le voir se jeter dans nos bras à son arrivée et nous serrer longuement dans ses petits bras, il ne saurait y avoir le moindre doute à ce sujet.