Et du côté des gardes « normales » de nos petits-enfants, rien à signaler ? Si, bien sûr, même si les conditions et circonstances changent et évoluent.
Tout s’organise en fonction d’un programme mensuel établi par Pauline. Ce programme, en plus des horaires scolaires de ses enfants, se définit en fonction des horaires de travail irréguliers de Vincent (et donc indirectement de ceux de Aude) en raison de sa garde de ses enfants (env. 40% du temps). Il intègre l’horaire professionnel et les absences dues à la formation que Pauline suit à la HEP-BEJUNE à Bienne (qui touche à sa fin) et de celles d’Axel (qui travaille à Vicques et suit une formation à Neuchâtel). « Last but not least » il doit satisfaire aux horaires scolaires de ses enfants et à ceux de leurs activités extra-scolaires : Céleste fait de la zumba et va à l’école du cirque Starlight à Porrentruy, Malo fait du hockey sur glace à la patinoire de Porrentruy (pardon, à la « Raiffeisen Arena » !) et parfois du football. Robin adore le football; il joue et s’entraîne avec les juniors du club régional (Ajoie-Mont-Terri). Enzo a repris le skater-hockey avec le SHC Buix (voire, en remplacement de son Papa, avec l’équipe des « feux bleus » (pompiers, policiers et ambulanciers) du Jura. Cela implique des repas de midi et des temps de garde (= des après-midi) chez nous, mais aussi des transports (sacs et bagages) et des déplacements. Heureusement qu’Enzo est assez autonome avec son vélo-moteur et son abonnement « Vagabond » (!) pour les transports publics, que Robin va souvent à l’école en vélo ou en trottinette et que les jumeaux adorent rentrer de l’école à pied, surtout que selon qu’ils rentrent chez eux ou viennent chez nous, ce ne sont ni le même trajet, ni les mêmes copains/copines qui les accompagnent !
Voilà, ce n’est pas plus compliqué que cela ! …sauf quand il y a des changements imprévus de dernière minute ! Prenons la peine de voir quelques illustrations de ces jours « normaux » :
Céleste se découvre une fascination pour les grands allumettes de Grand-maman.
Pourquoi devraient-elles n’être que décoratives ? C’est amusant de les allumer et de les voir brûler !
De temps à autres, un copain vient dîner avec eux. Ce jour-là, il s’agit de Leny qui est dans leur classe. (Ce n’est pas si facile à arranger : Il faut trouver des jours qui conviennent et s’assurer de l’accord des parents)
Souvent, à table, à midi, Malo n’a pas très faim. Fatigue ? Envie de retrouver au plus vite un écran ? Il n’aime pas trop le repas proposé ?
Et alors, dans tout cela, qu’en est-il des plus grands : Laura, Enzo, Quentin ?
C’est à la fois plus simple, mais très différent. Plus de garde régulière à horaire fixe de semaine en semaine. Laura vit sa vie de son côté entre Porrentruy et Delémont – où elle va à l’école – voir Damvant ou Porrentruy avec son copain Rémi. Nous ne la voyons plus guère (Trois fois en tout et pour tout entre le début de l’année et Pâques). Quentin (qui porte maintenant des lunettes ou des lentilles de contact), vient en général dîner le mercredi, souvent en même temps que Enzo) et se réjouit quand ses cousins sont là. Si c’est le cas, il va volontiers rester et passer l’après-midi avec eux jusqu’à l’heure de son entraînement de volley-ball à Porrentruy. Et un après-midi que ses cousins n’étaient pas là, il a même invité sa copine Maève – qui habite dans le quartier – à venir passer un moment chez nous.
Enzo, quant à lui, passe parfois – avec son vélo-moteur – nous dire un petit bonjour. Il aime en particulier venir le lundi soir : Il vient pour souper et passe la nuit chez nous, profitant du fait que le mardi matin, il recommence l’école un peu plus tard et peut repartir avec la course postale de 8h40. À l’occasion, il ne rechigne pas devant des entreprises plus conséquentes :
Enzo ne restera pas le seul à se mettre à une toile :
Pour en terminer avec ce regard en « flash-back »sur le premier trimestre de l’année, jetons un coup d’oeil sur la version 2023 des nettoyages de printemps, façon Marie-Claire : son réaménagement de l’atelier et de la buanderie. (Galerie !)
