La tradition voudrait qu’on ne passe pas la fête de Pâques sans « célébrer » le lapin du même nom, ne serait-ce que dans une version en chocolat pour réjouir petits et …moins petits. Bien. Mais que penser de « Lapins sans Pâques » ?

Tout arrive ! Cette année en, considérant les obligations des uns ou les désirs des autres (partir en vacances, c’est bien légitime !) nous nous sommes retrouvés à fêter Pâques ensemble… le vendredi 7, c’est-à-dire, Vendredi-Saint. Plutôt inédit, pas vrai. Mais après tout, pourquoi pas ? Il y aura donc eu des lapins sans (plus exactement : un peu avant) Pâques.







(Dans ces circonstances, l’expérience nous apprend qu’il vaut mieux s’efforcer de prendre en photo tout le monde pendant qu’on est à table. Après, les plus petits s’égaillent dans, ou – si la météo le permet – autour de la maison et… vous imaginez les conséquences.)
En amont, pour en arriver là, il y a eu besoin de quelques préparatifs, bien sûr.






Après le repas, … (voir remarque plus haut). Mais il ya une exception :

…et quelques conséquences :


Et maintenant, place aux vacances … pour ceux qui en ont ! Certes, ce matin-là, voilà ce que l’on voyait par la fenêtre :
