En cette fin du mois de mai, nous gardons Laura et Quentin en deux temps.
1er temps – vendredi 29 mai
À la sortie de l’école, comme tous les vendredi, Laura et Quentin viennent dîner et passer l’après-midi chez nous. À peine arrivée, Quentin retrouve ses Lego et Laura s’attelle à la réalisation d’un bricolage dont elle a eu l’idée. Il lui faut essentiellement des ballons et de la farine… ce qui sans la mettre dans le pétrin ( 😉 ) laisse néanmoins des traces !
Une fois son bricolage réalisé, nous pouvons passer à table. Ensuite Laura va à sa leçon d’équitation. Pendant ce temps, avec Quentin, nous jouons au jeu de l’échelle (qu’il gagne à deux reprises) puis je tente de lui faire découvrir le jeu de la bataille navale (alias le « Trafalgar » ou encore le « touché-coulé »). Ce jeu est nouveau pour lui et semble l’intéresser; nul doute que nous le reprendrons.
À son retour, Laura se met soudain à s’exercer au cup song, ce qui nous permet de constater qu’elle sait fort bien se débrouiller pour faire seule une recherche sur l’internet.
2e temps – samedi 30 et dimanche 31 mai – visite au Siky-Ranch
Partant pour Lucerne, où ils vont retrouver Fabien et Sabrina pour assister avec eux un concert, Jérôme et Aurélie nous amènent Laura et Quentin et dînent chez nous.
Laura et Quentin passent l’après-midi, la nuit et la journée du lendemain chez nous.
Comme le temps s’y prête, nous décidons de retourner au Siky-Ranch à Crémines. Cette destination éveille bien des souvenirs, voyez plutôt :
Mercredi 1er avril 2009 avec Laura et Enzo.
Vendredi 9 juillet 2010 avec Laura, Enzo et Quentin.
Cette dernière visite s’était faite en train, ce qui avait permis à l’époque à Jérôme de faire notamment les deux portraits suivants :
Depuis lors, le petit zoo a changé de propriétaire et une nouvelle orientation est prise par les nouveaux propriétaires.
La nouveauté, c’est le spectacle de quotidien de fauconnerie.
Faucons SikyRanch from JFrC on Vimeo.
Au moment où le spectacle se termine, Jérôme nous appelle pour nous annoncer qu’ils sont rentrés. Nous en faisons donc de même et ramenons chez eux deux petits-enfants heureux, vraisemblablement, mais fatigués.