Vous ne sauriez être surpris(es) de voir Quentin en action ainsi :
Mais vous attendiez-vous à le voir ainsi ?
Dans le choeur de l’église St-Pierre à Porrentruy…
…au clavier d’un grand piano, devant un large public intéressé et attentif !
C’était le samedi 17 décembre, son « oh dis si on… » pardon, son audition de piano dans le cadre de l’EJCM (Ecole jurassienne et Conservatoire de musique).
Mais regardez attentivement l’extrait de programme de cette audition :
C’est bien Quentin, élève de Benoît Hennecart, qui joue « Tango » au piano. Mais regardez à droite la rubrique des compositeurs ! C’est ce même Q(uentin.) Conus qui en est le compositeur !
Je lui laisserai le soin d’expliquer cela lui-même sur son blogue. Toujours est-il que nous avons vu ce soir-là un Quentin très impressionné par l’ambiance de ce concert auquel il allait contribuer, très tendu jusqu’au moment de s’installer au piano, découvrant ce qu’est le trac… et pas trop rassuré d’apprendre que ce trac reste le lot de la plupart des grands artistes !
Il paraît que du coup il a un peu moins bien joué que lorsqu’il s’entraînait chez lui, mais sûr que le public n’y a pas vu grand-chose, à en juger aux applaudissements qui ont salué sa prestation!
À la sortie de cette audition, nous sommes allés avec toute sa famille souper dans un restaurant marquant de la vieille ville de Porrentruy et qui vient d’être rénové : le Mouton.
Encore un peu crispés par le trac ? Peut-être. Mais aussi assez affamés et concentrés sur le contenu (délicieux) des assiettes.