C’est ainsi qu’actuellement Enzo appelle son cousin.

En promenade, bien calfeutré grâce à l'ouvrage de Grand-maman.
Au fil des semaines et des mois, Quentin progresse. Il se déplace, part à la découverte des surfaces où on le dépose (chambre, salon ou couloirs) et de tout ce qui s’y trouve. Il saisit, déplace, manipule, fait tomber, tire tout ce qui est à sa portée. Régulièrement il essaie de se mettre à quatre pattes.

Partons en exploration ; il y a bien des choses en vue.

Un petit chien… qui se couche sur le flanc.

Les grosses roues du tracteur de mon cousin.

Montre-moi ça, Laura.

Bon, allons voir plus loin.

Normalement c'est là que je devrais jouer.

Mais comment ne pas s'intéresser à ce long serpent noir ?

Tiens, c'est quoi cet intrus bruyant ?

Ce panier, je l'ai déjà vidé et examiné plusieurs fois.

Ah, voici de nouveaux bidules à explorer ; ils font même des bruits et de la musique.
De plus en plus, il apprécie de pouvoir être et rester assis pour jouer… ce qui parfois lui vaut de retomber sur le côté, voire sur le dos.

Oh ! Toute une boîte de plots en couleurs.

Je me demande ce que c'est.

Boum, chute sur le dos.

Tourner, appuyer, tapoter, secouer et ça fait du bruit ou de la musique.

Là, on peut tourner une sorte de clé.

Oups, heureusement que j'ai pu m'appuyer sur ce volant pour me rétablir.

Allons voir plus loin…

Mais non, je reviens à ce jouet, il est trop bien.

Tonton Fabien, t'as vu ? Moi aussi je tire ma petite langue dans l'effort !

Vous voyez ! Je tiens assis même sans appui.
Ces derniers jours, il a même commencé à se dresser contre les petites chaises et la petite table à la cuisine pour s’y appuyer en tenant sur ses deux jambes.

Toutes ces activités creusent. Alors dégustons une bonne pomme.

C'est quand même chouette d'avoir des petites dents !
Parallèlement, son régime alimentaire se diversifie. Du coup il prend goût à venir à table avec nous et adore être installé dans la petite chaise fixée à la table. Là aussi, il retrouve les habitudes qui furent celles de son cousin : il pédale fort.

À table I

À table II

À table III

À table IV
Mais ce qu’aucune photo ne peut vraiment révéler, c’est la joie de Quentin quand il reconnaît les visages familiers, les sourires qu’il fait à sa grande soeur quand il la voit jouer autour de lui, l’illumination de son visage quand il voit sa grand-maman vers qui il va de suite tendre les bras.
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