Le mercredi matin – et parfois plus quand il y a des extras – Laura et Enzo se retrouvent ensemble chez nous. C’est toujours la fête quand ils se retrouvent : Laura attend avec impatience le moment où son cousin arrive et Enzo demande tout de suite – même des fois le jeudi – si Laura est là.
Voilà mon cousin. Salut, Enzo ! Viens vite.
On va bien s'amuser, aujourd'hui. Pas vrai ?
Tu as un nouveau sac à dos ? - Ouais, toutou.
Regarde, tout est prêt.
Allez, on s'y met. Enlève ta veste et viens jouer.
Ils ne jouent pas encore vraiment ensemble. Mais Laura tente de plus en plus d’emmener Enzo dans ses fantaisies et dans ses jeux… ce qu’Enzo ne capte pas toujours. Mais ils ont de bons moments de connivence où ils font en même temps la même chose, jouent côte à côte et en rient de bon coeur.
Dans la chambre, on s'étale.
On squatte même l'armoire - après l'avoir vidée.
Là, on joue à la poupée.
Ouaouh, génial toutes ces peluches.
Un tapis de peluches.
On s'amuse bien.
Tous des doudous qui appartenaient à Maman ! Elle était gâtée…
T'es bien installé ? On y va ?
Euh, non, attends. Je préfère y aller à pied.
Voilà, j'ai préparé le thé. T'en veux ?
On prend le goûter.
Je lis, tu lis, nous lisons.
Sous, lampe de poche et garage - curieux mélange !?!
Vieux classiques : on joue avec la pâte.
Il s'agit de faire un gâteau pour le dessert.
Bon, en fait, c'est amusant, on tridouille la pâte et on mange les pommes.
Et bien entendu apparaissent des moments de mésentente quand Laura veut s’approprier ce avec quoi Enzo jouait ou quand Enzo n’entre pas dans son jeu. Alors la dispute n’est pas loin, d’autant qu’Enzo accepte de moins en moins de se soumettre ou de plier s’il n’est pas d’accord. Il est assez costaud pour résister, voire pour l’emporter. Ce qui entraîne les cris et les larmes de Laura.
Dans ses situations, les grands-parents vont devoir jouer la diplomatie, le déminage, la consolation ou la distraction.
Oh làlà toutes ces jolies peluches qui furent les miennes et qui existent encore-grâce à gr’papa et gr’maman! Il faut dire que je n’aimais pas du tout les poupées ou les barbies, mais que par contre, recevoir une peluche était un énorme bonheur. Je les choisissaient selon un critère primordial: la douceur des poils 🙂
Je passais des heures à m’en occuper, à les habiller, les ponponner…Et c’est un bonheur pour moi qu’elles revivent un peu et que’elles fassent le bonheur de mon petit Loulou et de ma p’tite Laura! (et vous n’oublirez pas de les prêter à « Ki-Kain » aussi hein les 2 :-))