Pâtir et pâtisserie – 12 mars 2018

Malgré quelque bobo consécutifs à un match de volley-ball…

Laura – qui adore s’affairer à la cuisine -, plutôt que de pâtir en silence de ce bobo, préfère faire de la pâtisserie. Grand-maman accepte de lui préparer, sur commande, les  divers ingrédients nécessaires puis Laura fait le reste …toute seule, sans aide et avec autant de détermination que d’assurance.

Elle ne renonce pas à l’utilisation des appareils ménagers – que d’ailleurs elle manipule avec précaution quand elle les sait potentiellement dangereux – cherche et trouve les recettes dont elle a besoin sur l’internet, gère la cuisson et la minuterie, bref se débrouille !

Sur ce, satisfaite de son travail, elle s’en va…

Mais, heu,…

Ben non, l’image ne ment pas et mérite un coup d’oeil : Voyez la position scabreusement exposée de l’iPad entre pâte, farine et projection de matières diverses. Voyez, à titre d’exemples, les saladiers délaissés après usage. Imaginez l’état de la surface de travail…

Elle s’en va, satisfaite de son travail. Ben oui, quoi, le résultat est excellent, ses « Oreo » (il paraît que c’est le nom en « jeun’s » de ces biscuits qui font fureur ces temps…) sont paraît-il délicieux, au point d’être engloutis quasiment sur le champ.

Voilà le seul et dernier exemplaire que j’ai pu sauver pour une photo… avant que Grand-maman le goûte.

C’est que, elle a « encore des devoirs à terminer » !

(Bon, ben, puisqu’il n’y a plus rien à goûter, je me contenterai de ranger la cuisine…)

* * * * *

Ce jour-là à la sortie de l’école, Quentin est arrivé le premier près de la voiture. Il s’est donc  installé sur le siège avant à côté de moi. Et dans ces cas-là, ça ne manque pas : il saisit le petit calepin-crayon que je garde dans la voiture. Et il dessine :

  • Voilà ce que j’ai fait à la patinoire cet après-midi !
  • Alors, ta maîtresse t’a dit que c’était hockey ?
  • Haha, j’ai bien compris ta plaisanterie !

Puis, comme Laura se fait encore un peu attendre, il continue à dessiner :

Touchant, non ?

Et ça tombe bien, puisque par hasard de lundi-là, Malo et Céleste, que Grand-maman a rencontré en ville, passent justement la fin d’après-midi chez nous !

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