Printemps à Nice, 11 au 13 avril 2018 – III. le soleil (un peu)          


vendredi 13 avril

Le lendemain, en ce vendredi 13 (!) les choses sont claires : Nous devons quitter l’appartement le matin avant midi et nous reprenons l’avion en début de soirée. Entre-temps nous pourrons laisser nos bagages à l’agence.

Au moins déjà quelques éclaircies au large. C’est toujours ça.

Dans la baie, les eaux du Pallion ont delà se sont refaites une place

Ce sera encore plus visible de plus haut :

Toute la baie de Nice avec au fond en face l’aéroport.

Arrivés à l’agence, nous n’avons pas besoin de discuter longtemps avec la responsable présente pour lui faire admettre que leurs prestations ont été sérieusement défaillantes le soir de notre arrivée. Certes, les aléas et conséquences des chutes de pluie n’ont rien arrangé, mais nous aurions dû être reçus dans de meilleures conditions et délais.

Ayant laissé nos bagages en dépôt à l’agence, nous repartons à la découverte de la ville tandis que le soleil semble véritablement s’installer et amener une température fort agréable.

Nous profitons de l’aubaine de pouvoir faire un circuit vers la colline du château et à travers les vieux quartiers de Nice en petit train touristique. Il sera avant tout « petit train » pour les uns et surtout « touristique » pour les autres, mais chacun y trouvera largement son compte.


La neige rappelle que le beau temps ne fait qu’arriver !

Au moment de dîner, nous trouvons en ville un restaurant tenu par des Italiens qui font vraiment fête aux enfants et nous permettent ainsi non seulement de bien manger, mais de passer un moment agréable pour chacun.

Nous revenons en direction de la mer et nous arrêtons au Parc Albert Ier. Il y a là un carrousel de modèle ancien sur lequel tous les quatre brûlent d’envie de faire des tours.

  

Un peu de geocaching dans les parages et la pompe est amorcée pour aller voir plus loin et continuer la balade. Dès lors, il suffira d’une heure à peine pour passer de cette image-là :

…à celle-ci :

Comment est-ce possible ? Dites plutôt : Comment cela n’était-il pas prévisible ?

Imaginez Enzo, Robin et les jumeaux au bord de la mer. Le soleil, la mer, les vagues, la plage de galets. C’est d’un attrait irrésistible ; bientôt il faut enlever souliers et chaussettes pour mieux ressentir les éléments ; il faut s’en approcher…

… bien entendu, ça finit par une ou même plusieurs chutes ! Et les habits sont détrempés. Soudain voilà que l’eau est devenue très froide. Le soleil tente bien de réchauffer, mais il y a du vent…

On s’installe donc sur un banc un tant soit peu abrité, on enlève les habits mouillés des jumeaux et on les emmitoufle dans un anorak ou une jaquette sèche. Tandis que Maman et Grand-maman vont acheter le minimum nécessaire pour équiper les enfants, on les garde blottis contre nous au soleil.

Fatigués, ils s’endorment…

Juste éviter qu’ils ne tombent du banc ou que le vent écarte le peu d’habits qu’ils ont sur eux.

Les enfants une fois vêtus convenablement, même si provisoirement, avec les derniers achats, nous retournons récupérer nos bagages à l’agence (et hop, un aller-simple le long de la Promenade des Anglais en plus ! Ce jour-là nous aurons fait plus d’une demi-douzaine de kilomètres le long de cette rue !).

Il est vendredi soir, le trafic en ville augmente de plus en plus ; il nous semble donc judicieux de nous mettre en route et de guetter le bus pour l’aéroport où nous prendrons le temps de manger avant de rentrer.

Pour le retour, voir ou revoir le premier article concernant ces vacances.

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