Divers d’été – juillet/août 2018

Nous voici déjà dans la seconde partie des vacances d’été. Peu à peu la canicule et la sècheresse s’installent, s’intensifient et se prolongent, mettant à mal les arbres fruitiers (qui ploient sous des charges inhabituelles de fruits qui pourtant peinent à mûrir par manque d’eau), les jardins et les champs (les paysans diminuent leurs cheptels en raison du manque de fourrage), de même que les forêts (qui commencent à arborer une allure colorée presque automnale et ce déjà avant la mi-août !). Sans parler de celles et ceux qui doivent travailler et parfois encore en plein-air !

Jamais il n’y a eu autant de damassons sur cet arbre.

Plus de 30° à 35° la journée ; même les nuits on reste au-dessus de 20°…

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Rentrés de leurs vacances en Espagne (dont il vous parleront sur leurs blogues), Laura et Quentin passent un lundi chez nous. Tandis que Laura s’occupe avec sa copine Marie qui l’a accompagnée, Quentin se met aux activités manuelles : Sous la surveillance active de Grand-maman, il se confectionne une trousse. Il se montre aussi à l’aise dans le maniement de la machine à coudre que dans le dessin préalable sur tissu. Et le résultat se laisse voir, c’est le moins qu’on puisse dire :

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Quant à lui, Jordann passe le cap des 9 mois…

…en profitant avec joie de sa piscine.

Tenter de l’intéresser aux jeux de société ? Pourquoi pas ? Mais a-t-il vraiment compris à quoi servent tous ces  pions, ces dés, ces jetons etc ? Pas sûr :

Par contre, il y a un (nouveau) terrain de jeu sur lequel il se plaît beaucoup :

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Quelques jours avant de partir en vacances dans la région de Nantes avec ses frères et son papa dans la famille d’Aude, le jour même où ils étaient venus en famille dîner chez nous,  Céleste a eu un petit accident. En voulant attraper sur la table le couffin de sa poupée, elle en a fait tomber une chaise qui l’a heurtée à la tête. Un contrôle aux urgences de l’hôpital a diagnostiqué une légère commotion. Plus de peur que de mal, donc, mais une soirée tout de même éprouvante pour tous qu’Enzo, Robin et Malo ont passée chez nous.

Robin se montre particulièrement éprouvé :

  • En tout cas, moi je ne pars pas en vacances si Céleste ne vient pas avec nous. … C’est nul de partir en vacances sans une fille !

Nous l’assurons que ce ne sera pas le cas et que quoiqu’il arrive, nous trouverons une solution pour qu’ils puissent tous profiter de ces vacances. Peu à peu, il se calme ; le retour de Céleste et la nouvelle qu’elle va bien ramènent la sérénité.

Céleste répond aux médecins qui l’auscultent et lui font passer plusieurs tests.

À cette occasion, il y a une coïncidence à relever :

Au cours de ses examens, le médecin pose plusieurs questions à Céleste et l’interroge sur sa fratrie :

  • J’ai deux frères, Enzo et Robin.
  • Mais… et Malo, alors ?
  • Ah, mais lui, c’est mon jumeau !

De son côté, Malo, en s’identifiant, a eu une réaction analogue :

  • Enzo, c’est mon frère ; Robin, c’est mon frère. Céleste ? C’est ma jumelle !

On a l’impression que d’une certaine façon les jumeaux se sentent « uns » face à leurs frères, plus que de simples frères et soeurs l’un envers l’autre.

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