Nous profitons des vacances d’automne pour aller avec Pauline, Axel et les enfants au Bouveret passer l’après-midi au Suisse Vapeur Parc. Partis en voiture dans la matinée, nous y arrivons, après un arrêt en route à la Gruyère, aux alentours de midi.
D’emblée, nous constatons qu’ill y a bel et bien des trains qui marchent à la vapeur et dont on prend tout le soin nécessaire.
Tout de suite et sans tarder, un premier tour du parc en train s’impose.
Parmi les paysages le long du circuit, une reproduction réduite du château d’Aigle,…
…à gauche, les Halles de Neuchâtel dans un embryon de localité…
…le bisse de Savièse…
… des (grands) ponts…
…plusieurs tunnels…
…un étang, pardon, un (petit) lac avec de magnifiques nénuphars…
… des gares ou stations où l’on ne s’arrête pas forcément…
… ainsi que rotonde, dépôt, aiguillages, plaque tournante, tout ce qui est nécessaire pour le fonctionnement d’un réseau…
…et retour à la gare de départ au bout d’une quinzaine de minutes.
Les enfants ( mais pas rien qu’eux !) sont ravis et en redemandent. Alors un repart pour un deuxième tour avec un autre train et sur un tracé légèrement différent.
On revoit certains endroits sous un autre angle
…et on croise plusieurs autres convois.
Finalement, après due deuxième voyage, tout le monde s’accorde pour aller dîner au « Snack » près du grand pont. Puis nous entreprenons de faire un petit tour du parc à pied.
Nous découvrons toutes les décorations mises en place en vue de Halloween et de journées thématiques qui y seront consacrées dès le lendemain.
Dès l’entrée, le ton est donné.
Squelettes (ici fort opportunément placés)…
…spectres et fantômes…
…sorcières et citrouilles…
…gnômes ou trolls et encore des citrouilles, tout y est !
Quelques scènes nouvelles et momentanées sont mises en place ça et là.
Mais il y a surtout le paysage construit autour du circuit de train qui est parsemé d’édifices caractéristiques ou connus plus ou moins régionaux (un peu au hasard des mécènes et partenaires financiers, dirait-on).
Nous allons admirer le château de plus près.
…la « maison suisse »…
…les Halles de Neuchâtel.
Chacun apprécie ce qu’il voit à sa façon et selon ses centres d’intérêt :
Céleste trouve de quoi se muer en sorcière (peu avenante, pas vrai ?)
Mais cette transformation ne dure pas !
En route, nos casse-cou (en l’occurrence surtout les garçons, quoique…) escaladent des barrières…
et posent au bas d’un éboulis de rochers.
Puis ils s’approchent du géant qui squatte un hangar abandonné et qui, le temps d’y faire une sieste, a étendu sa lessive pour la faire sécher :
Certes, il y aura aussi un temps d’arrêt aux alentours de la place de jeux près de l’entrée et un temps « glaces et goûter » dans la même zone, mais surtout, il y a encore, au gré des envies et des humeurs, d’autres tours en train, dont un sur une ligne à découvrir, car elle présente une vraie crémaillère.
L’après-midi se passe ainsi, les heures défilent…
…le plein de photos est fait.
Inexorablement les ombres s’allongent…
…quelques signes de fatigue apparaissent.
Pas de doutes, il est temps de prendre le chemin du retour…
…et, qui sait, de rêver à tous les voyages effectués au cours de cette belle journée d’automne.