Carnaval – 16 février 2010

Voici enfin la fête tant attendue de Carnaval. Pauline, Vincent et Enzo ont dîné chez nous (depuis que Vincent travaille à Porrentruy, il peut rentrer chez lui dîner le mardi). Aurélie et Jérôme, qui désormais bénéficient des vacances scolaires, nous rejoignent pour l’après-midi.

Effervescence dès le début de l’après-midi puisqu’il s’agit de s’habiller. Où l’on constate que Grand-maman s’est donnée à fond :

Blanche-Neige et son prince charmant…

Blanche-Neige et son Prince charmant…

Le seul petit nain qui n'a pas de barbe : Simplet .

Le seul petit nain qui n'a pas de barbe : Simplet .

Laura insiste : le Prince charmant doit embrasser Blanche-Neige, c’est écrit dans l’histoire (plus exactement, cela se vérifie dans le dessin animé).

Oh les amoureux !

Oh les amoureux !

Y en a qui en redemandent !

Y en a qui en redemandent !

Mais qu'est-ce qu'y s'passe ?

Mais qu'est-ce qu'y s'passe ?

Parés ! Grand-maman a bien travaillé.

Parés ! Grand-maman a bien travaillé.

Cette année, l’hiver a mis un point d’honneur à être un vrai hiver, un de ceux dont on se souvient (les hivers «d’antan» !)… Ce qui ne facilite pas forcément les déplacements avec pousse-pousses.

Départ pour aller rejoindre le cortège des enfants au village.

Départ pour aller rejoindre le cortège des enfants au village.

Dès le départ du cortège, la bataille de confettis se déclenche. Et bien entendu, il est plus agréable d’en lancer que d’en recevoir !

La rencontre… avec les inévitables confettis !

La rencontre… avec les inévitables confettis !

Grr… même dans les cheveux !

Grrr… même dans les cheveux !

La bataille bat son plein !

La bataille bat son plein !

Et ça laisse des traces sur le sol aussi.

Et ça laisse des traces sur le sol aussi.

Oh ! Tous ces petits papiers…

Oh ! Tous ces petits papiers…

Le cortège se met en marche en direction de la halle des fêtes en traversant les rues du village.

Pas de quoi impressionner un prince !

Pas de quoi impressionner un prince !

Ni de l'empêcher de faire sa sieste.

Ni d'empêcher un petit nain de faire sa sieste.

Ne suis-je pas charmant ?

Ne suis-je pas charmant ?

Et la fête se termine dans la halle avec le goûter et un petit spectacle… sans les Grands-parents !

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