En ce mois de janvier, l’hiver est bien là. Dans les stations de ski des Alpes, mais aussi en moyenne montagne (voir l’article précédent) et parfois jusqu’en plaine.


En même temps, la pandémie continue en Suisse, en Europe et dans le monde entier. Elle pousse au confinement, incite à instaurer des heures de couvre-feu, fait des ravages (le nombre de décès augmente toujours, le nombre de dépressions dans la population augmente aussi) et/ou inquiète en raison de l’apparition de virus variants. L’économie dans son ensemble souffre, les restaurants rament pour survivre, la vie culturelle est quasiment à l’arrêt et la vie sociale se restreint. La vaccination à grande échelle de la population a commencé, mais elle doit encore monter en puissance et cela prendra du temps.
Caractéristique de ces temps bouleversés, la question de Jordann :

Jusqu’ici, pour nos enfants et petits-enfants, un masque servait à se déguiser ; il faisait penser à Carnaval. Maintenant, un masque est associé à la protection indispensable contre un virus…
Heureusement, il est encore des domaines où la vie des enfants évolue selon des canaux plus « classiques » :




En grandissant, Jordann élargit ses centres d’intérêts, mais surtout, il progresse dans son vocabulaire :

Autre scène que nous rapporte Sabrina :

De fil en aiguille on en arrive à une… Escalade (!) :

J’avoue que je ris sous cape en me disant : « Que celui qui n’a jamais péché lui jette la première pierre » ! Après tout, il va à la crèche, ce petit (pardon : ce grand !).
Alors certes, il y a un peu moins de deux ans, ça se passait autrement. Rappel :