Cela fait un certain temps maintenant que les enfants de Pauline rentrent de l’école ou viennent chez nous seuls. Robin se déplace en général avec son vélo, Malo et Céleste viennent à pied.
Les deux premiers arrivés vont se ruer (dans l’ordre de préférence) sur mon iPad et sur l’iPhone de Grand-maman pour se « détendre de l’école en jouant un peu » . Céleste en sera réduite, à son arrivée, à tenter de venir me piquer mon iPhone dans ma poche. Mais pour elle, le temps passé avec les copines à bavarder en chemin vaut mieux qu’une course à l’écran. Et puis : « Bien sûr, je me suis de nouveau pris les barrières ! » Ah la la, ces CFF !
Toutes les méthodes sont pragmatiquement mises en oeuvre pour, après le repas tout au moins, les éloigner des écrans. Parfois – parce que l’hiver aura été nettement moins froid que d’habitude – le trampoline et les balançoires sont mises à contribution.
En insistant un peu, on parvient à les intéresser à quelques jeux. Et pas seulement au jeu d’échelle !
Et tant qu’à faire, un autre jeu soudain réapparaît qui captive parce qu’il permet des parties courtes et rapides (et au fil des parties, on progresse, on apprend des trucs !)
Lorsqu’à l’occasion d’une fin de semaine, ils obtiennent de pouvoir venir dormir chez nous :
Mais dans cette apparente routine de ces jours de garde, il y a des signes qui ne trompent pas, des petits riens qui rompent cette routine et font plaisir. Souvent ce sont les dessins et leurs textes qui parlent – ou alors les résultats de leurs bricolages.
Avec tout ça, n’oublions tout de même pas que la journée d’école n’est pas (toujours) une sinécure pour ces petits. Même si et quand ils s’en sortent bien ! Voici un exemple d’une évaluation en 3e Harmos :
Et pourtant, parfois, le « drame » n’est pas loin, si l’on en croit cet appel au secours de Céleste :
Mais qu’est-ce qui a bien pu se passer pour en arriver là ?
Heureusement, le temps de préparer le repas du soir en famille et la sérénité revient.
