Porrentruy – Bonfol, une première

… pour Tonton Philippe. Bien qu’il déménage bientôt à Alle, Philippe n’a encore jamais parcouru la ligne CJ entre Porrentruy et Bonfol. Il est donc temps, en ce mercredi 30 mars 2011, d’y remédier, vu que Philippe est justement en vacances à Courgenay pour quelques jours.

Nous voilà à la gare de Courgenay, prêts au départ.

Notre «crain» vient de là…

…et on va partir par là.

Là-bas, c'est Alle ; c'est là que Philippe va habiter depuis cet été.

Arrivés à Porrentruy, on attend pour changer de train.

Bon, ouvrons la porte…

Alors, vous venez ? On y va ! Entrons.

Enzo ne perd pas une miette du paysage qui défile.

Où est-ce qu'on arrive ?

Nous voici au terminus, à Bonfol. Philippe fait des photos.

Enzo a pris énormément de plaisir à faire ce  petit voyage. Il a installé son petit mouton sur la tablette de fenêtre, vérifié qu’il a bien son billet (timbré comme il se doit à la gare de Courgenay avant de partir), répéré au passage les bâtiments qu’il connait (piscine, patinoire, Ecole professionnelle etc) et observé l’autoroute, les autres lignes de train, la scierie, les gares. Un vieil habitué des déplacements en train.

Quoique…

Soudain il lui prend envie de chantonner. Il s’arrète, se reprend et me demande :

On ose chanter dans le train ?

Je lui explique qu’il s’agit surtout de ne pas déranger les autres voyageurs, mais que cela ne l’empêche pas de chanter. Un peu plus tard, il éternue.

On ose faire atchoum dans le train ?

Puis successivement il va être amené à demander :

On ose bailler dans le train ?

On ose tousser dans le train ?

Au retour, Enzo se choisit un siège pour lui tout seul.

Mais c'est encore plus agréable dans les bras de Tonton !

À Porrentruy, voilà Tonton Jérôme qui part en voyage lui aussi (mais en 1e classe !)

Pour nous le voyage se termine à Courgenay ; Jérôme continue vers Neuchâtel.

Belle matinée bien remplie.

Mais voilà qu’à table, soudain, Enzo se plaint d’avoir froid. Peu après, le voilà brûlant de fièvre et mal en point. La journée va donc hélas pour lui se terminer moins agréablement qu’elle n’a commencé.

Même dans les bras de Grand-maman ça ne va pas mieux !

Serait-ce la varicelle, comme Quentin récemment ?

 

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