En fin de journée, le mardi 24 décembre, nous nous retrouvons tous en famille chez nous pour fêter Noël et passer la veillée ensemble.
Sabrina et Fabien sont arrivés la veille ; Philippe, Aurélie, Jérôme, Laura et Quentin nous rejoignent en fin d’après-midi et Pauline, Vincent, Enzo et Robin avec l’apéro et des desserts en fin de journée. Peu à peu tout se prépare et se met en place.
S’il y a du monde à la cuisine, c’est qu’il y a du travail à y faire.
Nous serons treize à table… il en faut, de la place.
Grand-maman a confectionné de belles décorations de table, en rapport avec la saisons. Laura, épatée et intéressée, en a donc fabriqué une elle aussi (photo précédente).
Les festivités proprement dites commencent par l’apéritif qui a été préparé par Pauline.
Point n’est besoin d’insister pour les faire venir, l’apéro, ils adorent.
L’apéro, ils adorent, eux aussi.
Puis nous passons à table pour un délicieux repas de fête… conformément à la tradition.
Les enfants ont leur (partie de) table… les adultes la leur.
Mais rester à table n’est pas vraiment leur truc. (Sauf Laura : elle adore les frites, la viande est excellent et elle en profite)
Les enfants ayant très rapidement terminé leur repas et quitté la table (par la suite ils ne vont pas manquer d’y revenir, pour y manger, grignoter, déguster, goûter tout ce qui se présentera. Et ils ne seront pas les seuls à faire cela !), ils entreprennent de déballer une première série de cadeaux. Cette opération-là va elle aussi se répéter plusieurs fois comme p.ex après le dessert ou au café.
Afin d’animer encore la soirée, Enzo avait fabriqué – avec le soutien avisé et bienvenu de Grand-maman – une piñata qu’il propose à ses frère, cousin et cousine de venir abattre.
Vincent ne craint pas de prêter son concours à l’opération.
Chacun à son tour et avec énergie !
Et à la fin, on se partage équitablement tout le butin.
Un autre plaisir – les (grands-)parents n’en reviennent pas ! – c’est de chanter ou réciter quelques-unes des chansons ou poésies de circonstances apprises à l’école ou à la crèche.
Quentin est bien lancé, il devient intarissable. « J’en ai encore une…! »
Pour la plus grande joie des auditeurs/spectateurs.
Mais il y a encore des cadeaux à découvrir, des jeux à étrenner, de quoi se réjouir :
Jérôme fait distribuer les très attendus calendriers 2014 aux photos des petits-enfants.
Au moment de l’échange de cadeaux entre les adultes, il y en a un qui suscite l’attention curieuse et l’intérêt de tous les petits (mais pas seulement eux…).
Que lis-tu soudain de si passionnant ? Est-ce bien le moment ?
C’était donc ça : un mode d’emploi.
Les heures ont filé, il se fait tard. Robin accuse la fatigue.
Quand la fatigue sera plus forte que le plaisir de regarder sur l’ordinateur les trains à vapeur avec Tonton Philippe ou d’y écouter la chanson du « petit train dans la campagne » avec Fabien, ce sera bien le signe qu’il est temps d’aller coucher les petit… puis les grands.
Le lendemain, nos enfants fêteront le jour de Noël dans leurs belle-familles respectives à Auxon, Plan-les-Ouates ou Courchavon.
Je vous admire mes petits chéris d’avoir récité si gentiment vos poésies et chanté vos chansons de Noël! Je me souviens, que moi, lorsque j’étais petite fille, je détestais cela. C’était une vrai corvée de me présenter devant toute la famille et de dire ce que j’avais appris à l’école pour Noël. Le pire c’est quand je devais jouer un petit morceau de piano. A ce moment-là j’aurais bien voulu me cacher dans un trou de souris! Comme j’avais un gros trac, je ne connaissais plus ma partition et je faisais plein de fautes. J’avais « grosse mille » honte.
Aujourd’hui tout est différent, heureusement. Vous êtes à l’aise devant le monde et que vous n’avez pas peur de vous exprimer. Je vous dis à tous les 4 ( oui, Robin a aussi chanté!): BRAVO!
Bisous
Grand-Maman