Le jeudi matin, Grand-maman prépare le dîner et va pour 11 h garder les jumeaux chez eux au moment où leur maman part au travail. Enzo est à l’école et rentre tout seul en fin de matinée. Ainsi je peux aller dès 9 h 30 env. chercher Robin et partir avec lui faire une balade (rappelez-vous : ici). Ces moments sont précieux pour Robin, car ce sont des moments consacrés à lui seul ; il en bénéficie sans avoir à « souffrir de la concurrence » des jumeaux qui en temps normal ont tôt fait d’attirer l’attention sur eux.
Jeudi 16. Enzo est encore en vacances ; il peut donc nous accompagner.
Quasiment un passage obligé : la gare de Glovelier avant le départ du train pour les Franches-Montagnes
Je les emmène ensuite à la chapelle du Vorbourg au-dessus de Delémont.
C’est surtout le site et le point de vue qu’il donne sur la région de Courroux qui les impressionnent.
Le temps nous manque hélas pour continuer par le Béridier ; il est l’heure de rentrer pour dîner.
Jeudi 23 avril. L’école a repris pour Enzo, mais le temps beau et même chaud (pour la saison) n’a pas (encore) changé. C’est l’occasion rêvée de tenir une promesse faite à Robin : Nous allons prendre le train pour aller aux Franches-Montagnes. Il s’agit d’un grand classique, mais ce parcours et le simple fait d’aller en train plaisent toujours.
Nous avons une petite demi-heure à Saignelégier avant de reprendre le chemin du retour. Mais en face de la gare, il y a l’école primaire et devant l’école, une petite place de jeux agrémente la cour de récréation. Une aubaine dont avaient déjà bénéficié Laura (en 2008) et les trois plus grands (en 2011). Robin trouve donc là de quoi se défouler et s’éclater ; il ne s’en prive pas.
Sur le chemin du retour, Robin ne perd pas une miette du paysage traversé. Les étangs et les tourbières, le dépôt de « La Traction » au Pré-Petitjean, les chevaux dans les pâturages, les parois de rocher et les précipices, les ponts et tunnels, les routes et les petites gares, le rebroussement à la Combe Tabeillon. Tout cela le ravit. Nous sommes dans « le petit train rouge ».
Juste le temps ensuite de revenir à Courgenay et d’y retrouver Grand-maman et les frères et soeurs pour le dîner et la suite de la journée. La sieste viendra à point pour récupérer !