La veille de ce vendredi, relayés par Annette auprès des petits, nous étions partis en fin de journée pour aller assister avec Fabien et Sabrina à un spectacle à Plan-les-Ouates. Ce vendredi matin, nous rentrons donc de Genève lorsque, en gare de Bienne, nous parvient un appel téléphonique de Pauline qui nous annonce qu’elle doit conduire Céleste chez le médecin. Nous allons donc chez elle dès notre arrivée à Courgenay garder Robin et Malo et accueillir Enzo à sa sortie de l’école. Ce qui permet à Robin de venir avec moi à Porrentruy pour aller chercher Laura et Quentin.
Robin est tout content de renouer avec une ancienne habitude.
En sortant de l’école, Quentin est plongé dans un trip façon StarWars et suit une piste dans la cour sans nous voir !
Là, il nous a enfin vu.
Laura est tout heureuse de présenter son petit cousin à ses copines.
Ensuite, mais ensuite seulement, elle vient nous… avec la peluche que ce jour-là elle a amené à l’école.
Entretemps Grand-maman a préparé le dîner pour tous le monde chez Pauline et c’est là que nous dînons tous. Pauline est rentrée avec une petite Céleste qui souffre d’une angine et a donc droit à un traitement aux antibiotiques.
Une fois de plus les quatre plus grands cousins ont la joie de pouvoir passer un après-midi ensemble. Ils ne vont pas laisser passer l’aubaine. D’abord, jusqu’à la sieste des jumeaux et de Robin, ils jouent dans la chambre d’Enzo.
Laura est la maîtresse et donne à Enzo des fiches à faire.
Pendant que la maîtresse vérifie le travail de son élève, la « salle de classe » est envahie par des protagonistes d’un x-ème épisode inédit de Stars Wars.
À partir du moment où Robin va se coucher, la scène de jeux se déplace Sur-les-Côtes. Quand je la rejoint au réveil de Robin, beaucoup de choses se sont passées et l’état des lieux en porte les stigmates. Il est vrai que ces trois larrons fourmillent d’idées et excellent dans l’art de les mettre toutes en oeuvre à la suite les unes des autres à un rythme qui ne permet guère de ranger quoique ce soit entre-deux !
Là, ils en sont au goûter qu’ils ont imaginé et préparé eux-mêmes.
Le moins que l’on puisse dire, c’est qu’ils sont ravis et heureux !
Les sourires auront un peu disparus quand il s’agira de ranger un peu ou à tout le moins d’esquisser quelques prémices d’actions allant dans le sens d’une remise en état des lieux. Mais douterait de ce que cela est inévitable et classique ? En tout cas ils garderont un bon souvenir de ce vendredi après-midi inédit et imprévu.