Suite du récit de notre voyage en Périgord.
mercredi 14 octobre
Le soir de notre arrivée, après le souper pris en commun, nous avions eu l’occasion de découvrir brièvement les quartiers de la vieille ville les plus proches de notre hôtel.
La fontaine Sainte-Marie
Eclairage au gaz dans les rues
La mairie de Sarlat-la-Canéda.
La cathédrale Saint-Sacerdos
Ce premier contact avec le Sarlat « by night » nous avait mis l’eau à la bouche. Ce mercredi nous consacrons une bonne partie de la matinée à une visite guidée de la vieille ville.
Maisons de la vieille ville médiévale et rues pavées à l’ancienne.
Une ancienne église partiellement démolie et transformée en marché couvert.
La maison ou vécut l’écrivain Etienne de La Boétie au XVIe siècle.
Partout les toits de lauzes (très hauts et pentus)
Au centre des vieilles maisons, une cour intérieure avec les escaliers.
Après la visite, nous avons encore le temps de flâner un peu sur le marché où le foie gras sous toutes ses formes le dispute aux huile de noix ou aux truffes, mettant en valeur les plus fameuses productions agricoles de la région.
Ensuite nous quittons Sarlat pour la bastide (village fortifié bâti sur un plateau ou un éperon rocheux) de Domme.
Entrée par la porte des tours.
La maison du batteur de monnaie du roi.
Position stratégique sur la vallée de la Dordogne. Au fond La Roque-Gageac.
Après avoir dîné et visité la bastide, nous nous dirigeons vers La Roque-Gageac pour une balade en gabarre (ou gabare : embarcation à fond plat pour le transport de marchandises) sur la Dordogne. Hélas, il faut bien dire que certes, il fait beau, le soleil brille, mais les températures sont assez basses (entre 7 et 8 degrés !). Franchement, ce froid dont le ressenti s’aggrave encore sur l’eau va un peu nous gâcher le plaisir de la promenade et ceci en dépit de l’intérêt des explications de la guide et de la beauté des paysages traversés.
Embarquement à La Roque-Gageac ; au fond le belvédère des jardins de Marqueyssac.
La Roque-Gageac s’étend au pied de la falaise et est en partie troglodytique.
On remarque dans la falaise au-dessus des bâtiments la niche d’arrachement d’un assez récent éboulement.
Le château de Castelnaud où se trouve le musée de la guerre médiévale.
En fin de journée nous allons encore visiter un domaine agricole à Turnac (en face du château de Montfort) qui pratique la culture des noix dans une noyeraie et l’élevage de canards et d’oies en vue de leur gavage pour obtenir du foie gras.
Les noix sont ramassées au sol et doivent être lavées.
Au final une nouvelle fois une soixantaine de kilomètres parcourus et beaucoup d’impres-sions et d’images de toutes sortes… et tout de même quelques traces de fatigues !
(Fin à suivre)