Pot-pourri d’impressions, d’images et d’observations de ces derniers jours :
Bon, ben maintenant allons voir les trains : les vrais… (tiens, ils installent une barrière sur les quais… bizarre !?)
À propos de ce rituel, Robin est très frappé par une chose qu’il relève souvent :
- Chez nous, c’est mieux ; le chemin est plus long. Tandis que chez vous, c’est court.
Il fait remarquer par là qu’une voiture qui part de chez eux est visible longtemps le long de la route d’accès, alors que chez nous la haie la dérobe à la vue dès le départ.
Céleste, quand elle ne reste pas « scotchée » dans nos bras, se montre curieuse de tout, elle manipule et explore ce qui lui tombe sous la main.
Jeudi un concours de circonstances nous a valu deux hôtes-surprises qui dînent avec nous:
Il s’agit de Géraud et Joris Meyer, les « beaux-frères » de Robin puisque frères de Fantine.
Comme Enzo non seulement a congé cet après-midi, mais exceptionnellement n’a pas non plus son entraînement de hockey, il demande à pouvoir faire en début d’après-midi l’aller-et-retour au village pour accompagner Géraud à l’école. Ce faisant il va pouvoir passer au kiosque pour acheter quelques friandises. De retour à la maison, il repart aussitôt avec son cornet pour aller le partager avec les copains… C’est généreux. Et il a décidément bien grandi et acquis de l’autonomie.
Robin suit d’ailleurs ses traces, puisque soudain il part jouer avec Fantine sans vraiment nous prévenir ni s’inquiéter de rentrer à la nuit tombante ! C’est son papa, à son retour, qui devra aller le récupérer.
Sur la photo où nous sommes à table vous pourriez penser que je suis en train d’enfourner un énorme morceau dans la bouche. Mais non, rassurez-vous, je ne suis pas Gargantua. J’allais déposer une demi-crêpe dans l’assiette de Céleste, quand Joris m’a tenu une théorie complexe à propos de hockey.
Voilà, il fallait que je précise en cas d’éventuelles attaques!