Comme l’an dernier, une fois les fêtes pascales passées, nous partons en vacances avec Jérôme, Aurélie, Laura et Quentin. Cette fois, c’est cap au Sud; nous allons en Italie. Voici un bref récit – en plusieurs épisodes – de ces vacances.
Mardi 29 mars – Courgenay – Lerici (It)
Départ de Courgenay peu avant 9 heures. Par Moutier et Oensingen puis Lucerne et Altdorf (où nous faisons une brève halte un peu après 11 h), nous allons jusqu’à Bellinzone en traversant le tunnel autoroutier du Gothard. Arrêt pour dîner et après 1h30 nous reprenons la route par Chiasso, Como, l’autoroute italienne A5, le contournement de Milan, puis l’A15 en direction de Parme et de La Spezia. Nous arrivons à destination à Lerici vers 17h15 après 25 minutes d’arrêt dans le vent et le froid près du point sommital de l’autoroute.
Nous nous installons à l’hôtel Doria Park Hôtel.
De notre chambre, nous avons une magnifique vue sur Lerici et la Méditerranée (ici le Golfe des Poètes; en face : San Terenzo).
De l’autre côté, la vue est bien différente, mais pas pour autant désagréable :
En début de soirée, nous descendons vers le port à la découverte de Lerici.
Pas de doutes : nous sommes bien dans une zone de climat méditerranéen.
En longeant la côte nous nous baladons jusqu’à San Terenzo. Laura et Quentin, après un long trajet en voiture, sont tout heureux de se défouler et de retrouver une région qu’ils connaissent pour y être déjà venus plusieurs fois en vacances l’été.
Regard en arrière sur Lerici, son château et son port. Le grand bâtiment à gauche à mi-hauteur – au-dessus du mât au bout de la jetée – est l’hôtel où nous logeons.
En ce début de soirée, même au soleil couchant, les températures sont encore fort agréables.
Ah les délices de la cuisine italienne ! Il y en a qui s’en lèchent les babines !
Il fait nuit lorsque nous prenons – cette fois-ci en bus – le chemin du retour.
Il fait nuit sur le port de San Terenzo dominé par son château.
De notre chambre d’hôtel, la vue est toujours aussi intéressante.
Fin d’une première journée qui nous aura valu un dépaysement radical tant géographique que météorologique ou autre. Pas de doutes : là nous sommes bien en vacances et pour nous (Grand-maman et moi) c’est rudement agréable de pouvoir se laisser conduire sans avoir à se préoccuper de rien. On y prendrait goût !