Épidémie, et pis ? – jeudi 1er février 2018

L’épidémie de grippe saisonnière et son accompagnement de gastros et autres états nau-séeux et fiévreux sont là et même si le pic semble passé, c’est maintenant (surtout) que nos petits-enfants en sont victimes. Lundi, Laura était malade et a passé la journée chez nous. Aujourd’hui, c’est Quentin. Et le temps d’aller chercher les jumeaux chez Pauline, la maîtresse de Robin avait téléphoné pour annoncer que Robin était malade à son tour et allait quitter l’école avant la fin de la matinée. En outre, Enzo avait invité un copain à venir dîner chez nous, mais il est venu seul : son copain était absent, malade lui aussi !

Elle ? Non, elle n’est pas malade, juste peut-être un peu fatiguée ou simplement à la recherche d’une position confortable.

Lui, oui, il est malade. D’où la couverture. Mais ça se voit moins devant l’écran qu’à table à midi ! (il n’a mangé qu’une biscotte de tout le temps qu’il était chez nous)

Les miracles au moins fugaces d’une cure au « MacBooknerol » (de MacBook + Itinérol) !

Sans commentaires… ou alors cent commentaires !

Quoiqu’il en soit, les jumeaux sont encore sur pied et s’amusent bien.

On se remet à la patonée.

Mais voilà que le facteur a amené à Grand-maman un grand colis. Qui dit grand colis, dit grande boîte et qui dit grande boîte… a vite fait de penser : cabane ! Surtout avec un peu de scotch pour la compléter par une partie de l’emballage. Cela plaît aux jumeaux et les voici prêts pour un scénario à base de maison-abri, de loup qui souffle pour tenter de détruire la maison, d’irruption d’un loup dévastateur :

Et cela fait au moins momentanément des miracles dans les soins portés au malade !

Soyons un peu plus constructifs…

Elle a belle allure, ma maison, vous ne trouvez pas ?

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