Première semaine de vacances, retour de beaux jours, c’est la saison de l’ail des ours. En raison des horaires de travail de Pauline, nous gardons les enfants deux fois cette semaine. Par conséquent, l’appel de l’ail des ours dans sa petite combe au bord du Doubs se fait tout à fait irrésistible ; et voilà donc Grand-maman partie avec les trois, équipés de bottes et de vestes, de même que de bouteilles en plastique reconverties en bateaux submersibles, cap sur le Clos-du-Doubs.
Au retour, il n’y a qu’une seule destination possible : la baignoire …dans laquelle il n’y a hélas pas autant de place que dans la leur. Dès lors, difficile d’éviter le double déborde-ment : celui de l’excitation et agitation des baigneurs dans l’eau …et du coup celui de l’eau de la baignoire qui se trouve prématurément expulsée au-dehors de la baignoire. Or, selon l’avertissement des « francophones » de la région du Niagara (vous en souvient-il ?),
…ce qui devait arriver, arriva : une glissade puis la chute de Grand-maman à l’entrée de la salle de bain !
Mais finalement, Céleste se met en tête de faire des photos et réquisitionne mon appareil. Voici quelques-unes des images qu’elle a prises.
L’aspect technique est pris en charge par l’iPhone, mais pas le choix du sujet qui est affaire de regard…
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Pendant ce temps-là, au bout d’un grand lac, il y en a d’autres qui s’acheminent vers Pâques.