Après notre arrêt à Honfleur (voir l’article précédent), nous rejoignons l’A13 et mettons le cap à l’ouest. Notre destination est Caen. Nous y arrivons au moment même où la télévision diffuse des images de l’incendie de N-D de Paris et de l’écroulement de sa flèche.
Caen – le mémorial et les plages de débarquement
Le mardi 16 avril sera le seul jour de ces vacances où la météo n’a pas été bonne ; il a plu quasiment toute la journée. Peu nous importe, puisque c’est précisément le jour que nous consacrons à la visite du Mémorial de Caen, celui-là même qu’en 1988 nous avions découvert peu après son ouverture. Bien entendu, il s’est beaucoup développé et enrichi.

Tout au long de la visite, Laura et Quentin se montrent très intéressés. Ils avaient vu préalablement plusieurs documentaires sur les événements en Normandie et posent beaucoup de questions.
Le lendemain, le temps est redevenu beau. Nous partons vers la côte et les plages du débarquement du 6 juin 1944. Notre premier arrêt est à St-Côme du Mont dans un nouveau musée qui se consacre au débarquement des premières troupes de parachutistes dans la nuit précédant le Jour J
Nous allons ensuite sur le site de la Pointe du Hoc, d’où de puissantes batteries de marine installés dans des bunkers impressionnants pouvaient menacer les places du débarquement.
Nous nous arrêtons également au cimetière américain de Colleville sur Mer.
Nous terminons notre circuit par le site d’Arromanches où sont encore visibles des vestiges du port artificiel construit pour assurer le ravitaillement des troupes en attendant la reconquête des ports, et en particulier celui de Cherbourg. Un petit détour sur le chemin du retour nous permet encore de montrer à Quentin le Pegasus Bridge, le pont de Bénouville.
















