Découverte de Budapest I – 24 au 27 février 2022

Un hiver entier à peu près sans neige – en tout cas en Ajoie -, des virus – covid ou autres – qui fatiguent et rendent malades à répétition (nos petits-enfants en ont tous été victimes), une pandémie qui manifestement se calme et une semaine de « vacances blanches » qui ne le sera certainement pas, faute de neige en plaine… toutes les conditions étaient remplies pour donner envie à Pauline et Axel de partir quelques jours sous d’autres cieux. Ils n’y tenaient plus.

Après avoir bien analysé les possibilités offertes par les horaires de travail d’Axel – qui n’a pas de vacances – et procédé à une savante étude croisée des horaires de vol des compagnies « low cost » au départ de Bâle-Mulhouse, Pauline réussit à combiner une escapade de quelques jours vers… Budapest. Quelques clics plus tard, elle a même déniché un appartement à louer pour la durée du séjour qui paraît assez grand et bien fourni, qui est bien situé dans le centre et qui offre toute la place voulue pour que nous puissions les accompagner ! Adjugé !

C’est ainsi que le jeudi 24 février en fin de journée, nous partons tous en voitures vers l’EuroAirport pour embarquer à destination de la Hongrie.

Il se trouve que c’est ce même jour, au matin -heure locale, que la Russie déclenche la guerre contre l’Ukraine et lance l’invasion de ce pays (qui se trouve être voisin de la Hongrie) !

Arrivée à Bâle et embarquement au soleil couchant sous l’auspice d’un arc-en-ciel.

L’image n’est pas sans rappeler une scène toute semblable, il y a quatre ans, quand nous partions ensemble à Nice. C’était alors le baptême de l’air des jumeaux et l’époque où Enzo était encore persuadé qu’en atterrissant à Amsterdam l’année d’avant, « on s’était crashés ».

Aujourd’hui, ils sont des voyageurs confiants, presque expérimentés (au moins une demi-douzaine de vols chacun) et impatients de ce qu’ils vont vivre.

Dès l’arrivée, comme on pouvait le prévoir, une chose nous frappe : Nous sommes complètement dépaysés par la langue parlée et affichée. Non seulement nous ne trouvons pratiquement pas de similitudes avec le français pour nous fournir des points de repère, mais nous discernons très mal en quoi ce qui se dit peut correspondre à ce que nous voyons écrit !

Par ailleurs, il n’est certes pas loin de 21 heures, mais il fait nuit noire. Forcément, puisqu’ils sont dans le même fuseau horaire que nous et pourtant 1000 km plus à l’Est !

La suite s’enchaîne comme prévu : Un appel téléphonique de Pauline – qui se débrouille en anglais comme si elle avait bénéficié d’un séjour linguistique elle-aussi -, et le Van commandé vient nous chercher pour nous conduire à l’appartement en ville. Le temps de poser nos bagages et nous ressortons pour nous mettre en quête d’un endroit pour souper.

À quelques centaines de mètres de notre logement, nous trouvons un chouette restaurant dont le décor pré-annonce ce qui fera l’essentiel de sa carte de menus.

Pas de doute, nous ne sommes pas loin du « Bastion des Pêcheurs » !
Après quelque attente…
…nous sommes servis. Le menu est « couleurs locales »

Avions-nous déjà payé un repas coûtant env. 46’000 unités ? Il s’agit de florins hongrois !

De retour à l’appart’…

Regroupés dans le même lit pour ne pas manquer et bien profiter de la traditionnelle suite de l’histoire racontée par Grand-maman.

À suivre…

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