Au cours des vacances à Nendaz (nous y reviendrons), Enzo s’est acheté un bracelet ou bandeau tel que les utilisent p.ex les tennismen (je ne saurais dénommer cet objet de manière correcte) en tissu tricoté et aux couleurs de l’Espagne.
Hélas, voilà que les extrémités de cet objet se sont défaites (Là encore, ne m’en demandez pas plus, je n’ai pas vraiment saisi le problème). Que croyez-vous que fait alors Enzo ? Faut-il y voir une réminiscence de quelque chose qu’il aurait vu ou appris chez sa Grand-maman Annette ? Toujours est-il que sans rien dire ni demander à personne, il s’est dégotté une aiguille et du fil (en l’occurrence du coton) en puisant dans une petite boîte, reçue de sa Grand-maman Annette, contenant du matériel nécessaire pour faire de la broderie. Et vaillamment, il s’est mis à essayer de recoudre lui-même le bandeau en question :
Je ne me prononcerai pas sur le résultat. Enzo lui-même s’est d’ailleurs dit qu’après cette intervention de dépannage-minute, il faudrait l’intervention plus sérieuse d’une « pro » et de sa machine pour améliorer les choses. Mais ce qui me frappe et me paraît digne d’être relevé, c’est la démarche : essayer de se débrouiller de manière autonome avec les moyens et outils disponibles.
Félicitations à Enzo il a bien retenu la leçon de broderie.