Au sortir de l’école à midi, c’est les vacances pour Laura et Quentin. Nous allons donc passer l’après-midi de ce VENDREDI en « capitale », en fait et plus exactement dans la ville fédérale, puisque c’est là, à Berne, que Grand-maman a dû se rendre dès le matin pour une consultation médicale à l’Hôpital de l’Île. Nous allons donc la rejoindre en prenant le train à midi à Courgenay.
Le pique-nique est tiré du sac à peine installé dans le train.
Par chance, au contraire du reste de la semaine, le temps s’est mis au beau sur le Plateau. Il y a un peu de soleil et les températures sont agréables.
Dès la sortie de la gare, un musicien des rues joue de la harpe (celtique, comme celle sur laquelle Jérôme avait appris à jouer)
Sans beaucoup nous éloigner de la gare, de magasin de peinture sur la Speichergasse (si cela ne vous rappelle rien, allez voir ici) en marché de Noël sur la Waisenhausplatz et jusqu’au Palais fédéral, nous nous baladons tranquillement dans la vielle ville, flânant le long des vitrines et entre les stands.
Il faut bien inaugurer et essayer les crayons (d’artiste !) achetés et le bloc de feuilles reçu. Cela fournit un bon prétexte pour faire une petite pause et boire un thé froid ou un café. Nous nous arrêtons donc au « Mazot », le fameux restaurant valaisan sur la Bärenplatz.
Nous voici ensuite arrivés sur la Bundesplatz (Place fédérale) devant le Palais fédéral. En cette saison, les jets d’eau sont au repos, mais Laura et Quentin, qui se souviennent y être venus et s’y être mouillés, prennent plaisir à se défouler en courant autour du sapin qui en cette période de Noël orne cette place.
Depuis la terrasse du Palais, nous avons une magnifique vue vers le Sud sur la chaîne des Alpes éclairées par le soleil couchant.
Curieusement Laura et Quentin sont surtout intéressés par le toboggan que fournit la rampe des escaliers !
Le soleil se couche et c’est déjà l’heure de reprendre le chemin du retour. Nous arrivons assez tôt à la gare pour pouvoir nous installer confortablement en haut dans les voitures à deux étages.
Le voyage se passe sans histoire, comme à l’aller. Toutefois, fatalement, les iPhones finissent par être mis à contribution pour se passer le temps.
Parfois, hélas, le jeu ne se déroule pas comme on voudrait…
Et même au moment de faire un câlin à Grand-papa, la fatigue se fait sentir.
Mais la fin du voyage ne sera pour autant la fin de la journée, car au propre comme au figuré l’appétit vient en mangeant…
Vous découvrirez la suite dans un prochain article.
J’aurais bien voulu admirer le panorama sur les Alpes !
Et j’ai appris qu’il ne fallait pas confondre capitales et majuscules…une petite mise à jour d’un de mes cours va s’imposer !