Gardes d’automne – septembre/octobre 2020

Plus encore que cela avait été les cas au cours des années (scolaires) précédentes, cette année, les horaires de garde de nos petits-enfants varient énormément de semaine en semaine. Une seule balise semble peu à peu s’affirmer comme relativement fixe :

Au cours de cet automne, le mercredi est en général le jour où nos petits-enfants nous rejoignent tous chez nous pour dîner. Laura et Enzo terminent leurs leçons à 11 h et ont en général le temps prendre le car postal ; ils sont donc les premiers. Je vais chercher Quentin à l’école de l’Oiselier et peux rentrer sans devoir faire le détour par la ville. Entretemps, Grand-maman est allée chercher Malo et Céleste à l’école enfantine. Et Robin ? Il revient de l’école par ses propres moyens, sur son vélo (quitte parfois à prendre un peu de retard en faisant un bout de chemin avec un copain). Voilà le scénario classique du mercredi.

Parfois il arrive encore que j’aille tôt au matin chez Pauline, au moment où elle part au travail, pour au besoin lever les enfants, les faire se préparer pour aller à l’école et les y conduire.

Voilà le contexte général dans lequel ces photos on tôt prises :

Ce matin-là, – et c’est plutôt rare -, Céleste dort encore
Robin prend le temps de casser la croûte avant de s’habiller.
Malo, lui, se réveille gentiment.

Pour les jumeaux, pouvoir sortir de l’école, faire seuls un bout de chemin en direction de la maison jusqu’au lieu de rendez-vous, ça représente un beau progrès ; ils en sont fiers !

Grand-maman me fait des habits, je profite de les essayer !
L’heure du goûter, c’est un bon moment !

Il arrive parfois que ce soit Céleste qui s’accroche à un écran. Elle trouve sur mon ancien iPad une série de jeux qu’elle adore faire et refaire.

Malo se découvre une passion pour grimper dans le pommier et ramasser les pommes. Il s’y montre habile et adore se faufiler entre les branches pour atteindre aussi les plus belles et les plus grosses.

Il faut bien regarder pour parvenir à l’apercevoir.

En outre, il y a toujours, dehors, dans le pin, la maison des fées.

Aujourd’hui, elles se cachent…
et elles ont fermé les portes de leur maison !
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