Au retour de Sicile, les vacances ne sont pas terminées, en tout cas pour Fabien et Jordann. Alors pour en profiter – et peut-être bien de manière à retrouver une destination bien connue dans la famille (voyez ici et là) – voilà qu’on part avec des amis pour faire un petit voyage vers… le MST (Musée Suisse des Transports) et donc la ville de Lucerne.
Et voilà qu’on s’aperçoit que, sans le savoir, à quelques années d’intervalles, Jordann se découvre les mêmes intérêts que ses cousins.
Pas de doute, on est bien à Lucerne
On va donc profiter du lac.
(Attention ci-dessous : galeries ! Voir à ce propos le menu Rappels utiles sous l’image d’en-tête de cette page.)
On y va en train en profitant de la voiture-familles.
De l’attente pour les correspondances ? Qu’importe, on est avec des amis et on s’amuse si bien.
Un vrai voyage avec même :
pique-niques en plein air
nuit à l’hôtel
Et surtout, enfin, le Musée des Transports…
…et ses activités caractéristiques…
Ben oui, il s’agit aussi de transports !
En-dehors du musée, il y a encore tant de centres d’intérêts et d’endroits où se dépenser :
Alors on comprend bien que sur le chemin du retour :
À peu près durant le même période (voir l’article précédent) Enzo, Robin, Malo et Céleste sont en vacances avec leur Papa. Ils retrouvent donc Aude et Garance ainsi qu’une bonne vingtaine de membres de la famille d’Aude dans un endroit qui évoque d’anciens souvenirs : le chalet Concordia à La Barboleusaz près de Villars, celui-là même où nous avions vécu des week-ends de rencontre en famille il y a une douzaine d’année :
Cette photo date précisément de l’une de ces rencontres ; celle-ci en 2010.
Voici quelques images de ces vacances 2021 à la Barboleusaz telles que transmises par Enzo…
…qui se met du coup à l’auto-portrait de groupe.
Le groupe de vacancier réunit autour de Aude, Vincent et Garance des membres de la famille d’Aude, dont les grands-parents maternels de Garance :
De nombreux participants…
…dont une bonne demi-douzaine d’enfants de moins de dix ans (il faudrait y ajouter Garance)…
…et quelques ados ici joints au groupe d’adultes qui va affronter les joies et périls du canyoning. Enzo est devant, au centre.
(Ci-dessous : galeries ! Voir à ce propos le menu Rappels utiles sous l’image d’en-tête de cette page.)
Activités sportives, toutes de saison… (Oui, y compris le patinage en été. Villars a eu dans les années soixante la première patinoire artificielle de Suisse ouverte toute l’année. Elle a abrité le fameux HC Villars – voir en fin d’article)
Découverte de la région, yc le Swiss Vapeur Parc du Bouveret
Puisque parmi les destinataires et lecteurs du blogue, il y a des amateurs de hockey sur glace, citons ici un extrait du site dédié au HC Villars « de la belle époque » mentionné plus haut :
(Note du géographe de service : Les cartes récentes de Swisstopo entérinent le nom Barboleuse qui, dans le parler local, avait peu à peu évincé le nom ancien de Barboleusaz. Dont acte)
Du dimanche 18 au dimanche 25 juillet, Pauline, Axel et les enfants ont passé une semaine de vacances dans un camping à Sérignan-Valras tout près de Béziers. Pour effectuer le trajet à l’aller, ils ont choisit de partir sur le coup de 1 h !
Un arrêt en route pour déjeuner au petit matin (6 h !)
Découverte de la région : la ville de Sète et son port.
On étanche une petite soif.
Et on découvre le logis (alias mobile-home immobile) loué, dans lequel on s’installe pour la semaine.
À partir de là, on se voue aux plaisirs des activités marines :
Découverte des plaisirs de la navigation en (pleine) mer.
Découverte des plaisirs des activités côtières:
Enterrer, pardon, ensabler… un grand classique.
Les châteaux de sable, idem
Collecte de cailloux et surtout de coquillages.
Sans oublier les plaisirs liés aux activités du camping
Transat et lunettes de soleil.
La piscine du camping, plus calme que la mer.
Structures et …
matériel de location…
… ou installations pour se dépenser.
La troupe qui anime les soirées du camping
Sans compter toutes les occasions d’aller manger « au resto » !
En résumé :
Si au début, l’eau pouvait sembler plutôt fraîche (pas vrai, Malo ?)…
Même sous le soleil méditerranéen et au bord de la mer, les journées ne se limitent pas au temps passé dans l’eau ou au bord de l’eau.
On peut prendre un peu de temps pour jouer… ou réparer le camion des pompiers.
Carrément les grands moyens, quoi !
Bien à l’abri dans la moustiquaire, on se fait raconter une histoire ou lire un livre.
On ne va pas renoncer à la sieste sous le futile prétexte des vacances, Surtout que dans à peine quelques heures il faudra être au top de sa forme ! (voir plus bas)
Car une fois la nuit venue…
Chaque soir il y a un petit spectacle, une activité récréative ou une animation qui est proposée. Et Jordann ne manque pas d’y participer. À sa manière, mais avec conviction :
Les efforts et l’engagement de Jordann ne passent pas inaperçus. Il sont assez convaincants pour que :
Et ce n’est pas fini !
C’est la consécration :_ on monte sur scène.
Et le succès est confirmé.
C’est que le petit Jordann a bien grandi. En voici une preuve plus directe et indiscutable :
Pour la troisième année consécutive, Fabien et Sabrina emmènent Jordann en vacances à Syracuse, en Sicile – région de naissance de Nonno Paolo – pour des vacances balnéaires.
Tout commence à Cointrin un matin à 4 heures (!) Embarquement pour Catania, l’aéroport le plus proche de Syracuse
Sur place deux possibilités principales de théâtres d’activités : la plage de la Mer Ionienne ou la piscine du complexe hôtelier.
• à la plage :
Marcher sur le sable…
…avancer en rampant dans l’eau…
…modeler le sable et édifier des constructions…
…comme un (début de) château de sable.
Puis replonger dans l’eau pour se nettoyer…
…et aller se blottir dans les bras de Papa pour se reposer un peu.
Les plaisirs classiques des vacances estivales au bord de la mer !
• à la piscine :
C’est aussi super, la piscine… et on y évite le sable qui nous colle partout !
• mais avec un équipement adéquat :
On peut facilement nager sous l’eau sans risque.
Avec un équipement plus élaboré, on améliore encore la performance !
En s’entraînant bien……on devient aussi habile qu’un poisson dans l’eau (ou qu’un pêcheur de perles !)
Début de vacances curieuses, voire bizarres… en raison d’un début d’été curieux, voire bizarre et en tout cas assez hors-normes. Quel bon prétexte pour aligner pêle-mêle quelques images sur divers sujets bien divers.
• Vélo et vélomoteur
Cela tient un message, une photo et une petite vidéo :
Ramené en voiture en raison de très fortes pluies, Robin avait oublié son vélo chez nous quelques jours durant.
Qui est donc ce motard en herbe qui tourne en boucle autour de la maison ?
Enzo… Oui c’est bien lui !
• En train… et à pied
Et tout se paassera bien, à la totale satisfaction de tous.
• …mais pas en voiture, pas sur l’A16 !
Pas pendant les crues dues aux violents orages !
Ou alors, il faut attendre leur intervention !
• Laura et Quentin passent la nuit chez nous
Laura a eu la chance de commencer ses vacances par un petit séjour dans la famille de son parrain Jean dans la région de Strasbourg. Comme une grande, elle a fait le trajet en TGV entre Belfort (Méroux) et Strasbourg toute seule ! Dès son retour, elle est venue passer la nuit chez nous, ses parents étant l’un et l’autre retenu chez/par des collègues. Nous en avons profité pour aller souper avec eux à l’Hôtel du Boeuf à Courgenay.
Ggalerie ! Voir le menu Rappels utiles sous l’image d’en-tête de cette page.
Ils étaient heureux de se retrouver, mais sans pour autant en oublier leurs smartphones !
Quentin avait pris soin de s’équiper pour venir passer de si longues heures chez nous. Et il en a fait bon usage :
Etonnantes prises de position, n’est-il pas ?Ce qui s’appelle être passionné ! Ou : 4 minutes dans la vie d’un « gamer ».
• Retrouver Garance !
Dire que Enzo, Robin, Malo ou Céleste sont indifférents à leur petite (demi-)soeur – qui dans leur esprit l’est bel et bien à part entière – serait une absurdité que les faits démentiraient très vite, voyez plutôt :
Il semblerait bien que ce soit Robin qui lui soit le plus « accroc » !
Il y a autour de nous dans la région élargie tant d’endroits pas très éloignés qui recèlent des points d’intérêt originaux dans bien des domaines différents, qu’il serait dommage de ne pas, de temps en temps, prendre la peine d’y aller voir. De cas en cas le choix va se faire selon la saison et la météo, ou selon la distance à parcourir, selon le moyen de transport et de déplacement ou encore selon les participants potentiels.
Vers la mi-juillet, au début de la deuxième semaine de vacances, Laura a la chance d’être invitée à rejoindre son parrain à Strasbourg, Malo et Céleste sont invités à leur sortie en tête-tête avec Grand-Maman (voir article précédent). Voilà donc l’occasion rêvée pour moi de proposer à mon tour une sortie à Enzo, Quentin et Robin.
Après moult hésitation (l’embarras du choix, justement) et quelques recherches de précisions sur l’internet, je finis par décider d’aller en voiture à Neuchâtel. La route de Glovelier à Saignelégier est fermée tout cet été pour des travaux d’alésage du tunnel de St-Brais ; nous passerons donc par le Mont-Crosin, St-Imier, Les Bugnenets et Valangin (à l’aller comme au retour).
Nous voilà donc partis ce lundi matin 12 juillet, Grand-Maman en train avec les jumeaux et moi en voiture avec le trio.
Après un voyage sans histoire – ce qui ne veut pas dire que mes passagers ne vont pas s’en raconter tout au long du trajet, loin s’en faut – nous arrivons sans encombre un peu avant midi au parking de la place du Port à Neuchâtel. Nous voici à pied d’oeuvre.
Un passage à l’office du tourisme et nous sommes parés pour nous lancer sur la piste des chenapans ! Cette activité nous est présentée comme suit :
Mais auparavant nous allons, sur notre chemin vers le point de départ, trouver un endroit sympa pour dîner. Ce sera « La fleur de lys » une pizzeria en vieille ville.
Consultation – assez rapide, à vrai dire – de la carte…
… une boisson pour commencer…
… et on attaque la pizza à belles dents. Sans se laisser distraire par le Collège latin (devenu Bibliothèque) !
Satisfaits et rassasiés au point de même renoncer à un dessert (!) – ou serait-ce l’impatience de se mettre en chasse ? – nous gagnons le pavillon de la place Pury, notre point de départ.
(Il y a près de cinquante ans, avec ma Grand-maman j’attendais là en fin de journée le tram pour rentrer chez elle dans le haut de la ville.)
L’ancienne salle d’attente a été réaménagée en intérieur des trams de la Belle Époque et – les fenêtres faisant office d’écrans – un petit film d’animation lance la traque de ces chenapans fuyant en ville.
Armé d’un plan, – c’est Enzo qui s’en charge – nous partons à la recherche de différents postes successifs, chacun d’eux fournissant des indices pour la traque finale et des énigmes permettant de découvrir le poste suivant.
L’attirail du parfait enquêteur (sic !) consiste en divers matériels astucieux qu’il faut manipuler pour résoudre les énigmes. Ici Robin transcrit et décode un texte à l’aide de ce disque de transposition.
Avec une loupe-miroir spéciale on lit : »Poursuivez jusqu’au bout de la rue du Neubourg… »
Identifier une odeur. Facile, c’est du chocolat ! En récompense on reçoit à la boutique voisine quelques échantillons de divers chocolats (plans, au lait, noir etc) à déguster
Les postes sont assez discrètement placés, mais néanmoins toujours identifiable grâce à une fresque représentant des scènes de la Belle Époque :
Il y aura encore la lampe à UV pour faire apparaître un texte caché dans une peinture et des jumelles style « view master » avec deux disques pour « voir » notre chemin !
Ce jeu de piste nous fait aller et venir dans les rues et ruelles de la vieille ville
Les derniers postes de cette traque sont situés sur la colline du Château.
Pour joindre l’utile à l’agréable – et parce que le temps passe – nous utilisons le petit train touristique pour compléter notre tour de ville, recevoir encore d’autres informations sur la ville et monter au château et à la Collégiale pour trouver ces derniers postes.
Le train ne s’arrête qu’une dizaine de minutes ; il faut donc faire vite. Hélas la visite et l’appréciation des lieux en pâtissent un peu. Mais nos enquêteurs n’en ont cure : ils veulent résoudre les énigmes !
Une photo du dernier poste doit nous permettre de résoudre l’énigme sur le chemin du retour au départ.
Correctement transcrites sur une feuille d’itinéraire selon les instructions visuelles, les réponses à toutes les énigmes nous guident vers le trésor final.
Avec succès ! Voici ce coffre. C’est déjà une première victoire.C
Grâce aux réponses aux énigmes nous pouvons faire les calculs suggérés par une dernière formule et nous obtenons le code à 4 chiffres qui doit nous permettre d’ouvrir le coffre.
Victoire ! Le coffre s’ouvre, la mission est accomplie avec succès !
Quentin manifeste sa joie par l’improvisation d’un petit pas de danse .
Forts de cette réussite, nous pouvons alors ramener le matériel à l’office du tourisme et y recevoir la petite récompense prévue. Il ne nous reste alors plus qu’à reprendre le chemin du retour pour aller y raconter les exploits du jour. Et aller prendre une bonne douche et du repos… et…
…passer entre les mains expertes de la coiffeuse maison Kim, la soeur d’Axel.
Comme quoi, la piste des chenapans à Neuchâtel, ça décoiffe !
Il y a quelque temps déjà, Grand-maman a décidé de faire tour à tour une sortie seule avec chacun de ses petits-enfants. Ainsi elle est allée passer une journée avec Laura seule à Bâle, avec Enzo seul à …Bâle, puis avec Quentin seul à Neuchâtel. Ce mois-ci, profitant des vacances elle sortira seule :
• avec Robin : le 8 juillet à …Bâle (c’est lui qui a choisi la destination – et pas que, voir plus bas)
• avec Malo et Céleste (ils ont choisi de faire la sortie ensemble), le 12 juillet à Berne.
Voici quelques reflets de ces sorties :
Jeudi 8 juillet 2021 – sortie avec Robin à Bâle au musée Tinguely
Robin se réjouissait de cette sortie qu’il attendait depuis longtemps et qui – comme tant d’autres projets – avait été reportée en raison des restrictions dues à la pandémie. Toutefois, il ne voyait pas vraiment à quoi s’attendre quand Grand-maman lui a parlé de visiter le musée Tinguely. Remarque : C’est Robin lui-même qui a pris les photos qui illustrent cette première partie d’article…
…sauf exceptions !
Une exposition temporaire présentait une famille précurseur dans les dessins de tatouages qui préparait ses motifs sur papier. Robin en a repéré quelques-uns.
En fait, c’est surtout en-dehors du musée que Robin a voulu faire des photos pour les montrer à sa famille… et en envoyer à son cousin Quentin. (Faut dire qu’il a expressément choisi d’aller manger dans un Burger King et qu’il a été positivement ravi, lui, de son choix) :
Au retour, dans le train on croit apercevoir dans la main de Robin un élément spécifique qui en rappelle un autre très semblable vu à l’aller aux côtés de Robin) :
Voyage au wagon-restaurant, s’il vous plaît !
Journée bien remplie. Et si Robin avait eu dans sa chambre le meuble qui lui avait tapé dans l’oeil à l’entrée du musée, nul doute qu’il en aurait fait exactement cet usage :
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Lundi 12 juillet – sortie avec Malo et Céleste à Berne au Musée d’histoire naturelle
Une quinzaine de jours plus tôt, nous passions en bus à quelques encablures de ce musée que j’étais déjà venu visiter il y a quelques années avec Enzo et Robin. Peut-être l’idée d’y venir a-t-elle subrepticement germé à ce moment-là ?
À l’époque (cad. quand j’étais enfant), ce qui avait fait la renommée de ce musée, ce furent les vitrines du sous-sol dans lesquelles des animaux du monde entier étaient mis en scène empaillés de manière réaliste dans une reconstitution de leur milieu naturel.
Mais voilà qu’une autre partie du musée a particulièrement intéressé les jumeaux : l’exposition de cristaux de roches, de fossiles et minéraux, de « pierres précieuses » comme ils disaient. Et les voilà déambulant entre les vitrines et admirant ces objets insolites, voire un peu magiques qui se présentaient tous leurs yeux brillant de mille feux et de reflets (« de l’or, tu sais, Grand-papa ! »). En rentrant le soir, c’est d’ailleurs ce souvenir marquant-là qu’ils allaient s’efforcer des nous faire comprendre et partager.
Des petites vidéos variées sur des curiosités du monde animal… Malo est captivé
Ils auront pourtant fait une autre découverte stupéfiante pour eux : La vision en volume (en 3D) obtenue par l’utilisation de doubles objectifs spéciaux et de lunettes bicolores. Impossible, bien entendu de restituer cet effet ici. Mais on devine la scène basée sur un décor dans lequel ils sont filmés et qu’ils revoient en trois dimensions s’ils sont équipés de lunettes ad-hoc.
Seulement voilà, le brillant et les reflets des cristaux et minéraux prendra le dessus, pour l’immédiat en tout cas.
Depuis la fin de l’année 2019 (à fin octobre) ou février 2020 (Robin et Grand-Maman), nous n’avions plus eu l’occasion d’aller à Plan-les-Ouates chez Fabien et Sabrina. Il était donc plus que temps que trouvions l’occasion d’y retourner. Voilà qu’enfin, au début de ces vacances d’été, l’occasion se présente de passer une fin de semaine au bout du lac (après le passage de Biden et Poutine !).
Nous voyageons en train et Fabien vient avec Jordann nous accueillir à la gare de Genève-Aéroport vers midi. Quelle joie de voir Jordann tout heureux se précipiter vers nous, se jeter dans nos bras et nous serrer fort. puis, de retour chez lui et après sa sieste nous faire l’étalage de tous ses livres ou jouets.
Petit jeu de cache-cache avec Papa au moment de s’habiller après la sieste.
Un T-shirt amusant et des moustaches qui trahissent le contenu du goûter.
Prêt et équipé pour une petite sortie, avec Maman cette fois-ci.
L’occasion de confirmer que la météo n’en est pas encore, loin s’en faut, au régime estival.
Ce soir-là, c’est nous qui allons coucher et garder Jordann, ses parents profitant de l’occasion pour sortir en amoureux. Jordann prendra la peine de nous préciser ses quelques rituels pour se coucher et sera heureux de se faire raconter une (longue) histoire par Grand-maman.
Bonne nuit, petit chéri !
Au cours de la matinée suivante, nous montrons à Jordann comment jouer avec les jeux de cartes que nous lui avons amenés : L’homme noir et un Memory. Il y prend goût et s’amuse bien, comme son petit sourire la révèle
On joue au Memory…
… et à la fin c’est tjrs Marie-Claire qui gagne !
(Galerie ! Voir le menu Rappels utiles sous l’image d’en-tête de cette page.)
Pour midi ce jour-là, Sabrina et sa soeur Milena nous ont concocté une chouette surprise à l’occasion de l’anniversaire (le lendemain en fait) de Fabien : Nous allons manger au restaurant « Le Gaucho », le restaurant de Nasser, le mari de Milena.
Jordann y a sa place autant avant le repas…
…que pendant le repas, devant son assiette.
(Galerie ! Voir le menu Rappels utiles sous l’image d’en-tête de cette page.) Le grand moment, c’est le dessert, lorsqu’il s’agit de souffler les bougies du gâteau de Papa. Et après ce moment d’émotion, il fait bon se reposer dans un petit coin tranquille.
En fin d’après-midi, Fabien, Sabrina et Jordann nous ramènent à la gare de Cornavin et nous rentrons en train, ravis de ce petit séjour à Plan-les-Ouates.
Pauline et Axel souhaitaient marquer à deux l’anniversaire d’Axel. Enzo, Robin, Malo et Céleste vont donc passer le week-end chez nous. C’est bien ce qui, la veille, avait justifié les tractations préventives pour le choix des lits et des chambres (voir le début de cet article). Nous avons profité de ce week-end pour faire avec nos petits-enfants une sortie à Berne au parc animalier du Dählhölzli. Pour des raisons pratiques, le plus simple (encore que, simple… ?) est de faire ce voyage en train. Ça faisait bien longtemps que nous n’avions plus pris le train avec eux, l’occasion était donc trop belle.
Masques toujours de rigueur pour les plus grands ; le virus n’a pas fini de rôder.
Ce n’est bien entendu pas la première fois que nous allons en train à Berne, ni non plus que nous allons au Tierpark. Mais force va nous être de constater que la ville, de même que les lieux que nous allons visiter changent, s’améliorent, se modernisent pour se mettre au goût du jour …et, du coup, nous (ou en tout cas me) surprennent et désorientent quelque peu.
Dans la partie de la gare où notre train nous dépose, il y a – ô bonheur – un tout nouveau McDo… et – ô bonheur encore – il vient d’être midi. L’arrêt s’impose…
…et bien entendu ravit nos voyageurs. (Il fallait voir le brio avec lequel Enzo et Robin utilisent l’appareil à commander les repas et nous guident à la table choisie pour que nous y soyons servis. Des vrais pros !
Nous prenons ensuite le bus, passons la vieille ville et traversons sur l’autre rive de l’Aar pour arriver vers la première piscine et patinoire de Berne, la Ka-We-De. L’entrée du Tierpark n’est plus très loin, d’autant que la place de jeux en a été sensiblement agrandie. Voilà l’occasion rêvée de se défouler un peu et de se déchaîner sur des lieux faits pour ça ! la halte s’impose.
(C’est une galerie ! Voir à ce propos le menu Rappels utilessous l’image d’en-tête de cette page.)
Le temps est beau mais pas trop chaud, les enfants sont ravis et réceptifs à ce qu’ils voient et découvrent. Tout se passe donc bien. Mais il est vrai que comme l’Aar est en crue et que le chemin que nous suivons pour voir les enclos des animaux la borde de très près, mieux vaut avoir un coup d’oeil sur les petits qui soit direct que par l’intermédiaire d’un appareil photos ! Du coup, pas de photos de cette partie de la balade…
Céleste et Malo ne manquent pas de dénicher quelques trésors en route.
Indiscutablement, les nouveaux aménagements des enclos des animaux sont bien plus naturels et de ce fait plus agréables pour les animaux. Mais avouons que pour les visiteurs, il faut bien plus de temps et d’attention pour apercevoir et observer les animaux – qu’on ne voit d’ailleurs plutôt qu’à distance. Le visiteur de passage peut n’en voir que très peu. Fini, pour ne citer que cet exemple, les bisons qui venaient attraper de leur langue râpeuse sur le muret bordant leur enclos le pain sec amené par les passants. Même les écureuils, abondants sur et près du chemin principal de la forêt, qui venaient sans crainte prélever dans nos mains les faines ou noisettes qui leur étaient destinées, ont disparu.
Agréable balade dans cette forêt assez éclaircie pour qu’on puisse profiter du soleil.
Une fois l’extrémité Est du parc atteinte par la rive de l’Aar, nous bouclons la boucle par le chemin qui grimpe dans la forêt du Dählhözli et revient vers l’Ouest. Nous sortons de la forêt à quelques encablures du bâtiment abritant le lycée du Kirchenfeld (souvenirs, souvenirs !), où nous reprenons le bus pour revenir à la gare. L’après-midi est bien avancé et l’heure de penser au voyage de retour est venue.
Le temps de quelques achats (pour le souper, peut-être, mais pour le goûter – tardif – et refaire provisions de « schleckeries » surtout !) et nous reprenons le(s) train(s) du retour.
Entre Berne et Bienne…
!
Entre Bienne et Delémont, on peut recharger les appareils. Il faut en profiter !
Les jeux que Céleste préfère sont bien différents de ceux de ces frères !
Entre Delémont et Courgenay : Tiens donc, un contrôleur qui passe !
La nuit suivante, tout se déroulera comme prévu et décidé, dans anicroche. (Mais pas sans écrans ! Faut pas rêver, non plus !). Et le lendemain ils retrouveront Pauline et Axel, eux-aussi ravis de leur escapade. Céleste aura encore le temps de démontrer que faire des copies d’écran sur un smartphone ou une tablette n’a plus de secret pour elle. Elle sait aussi passer commande d’une impression sur papier de ses copies préférées (ici des images du film « Star Wars ») :
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Vient alors la dernière semaine d’école avec son lot d’activités hors-cadre, ses bulletins et… ses adieux.
Malo et Céleste prennent congé de Marie-Hélène, maîtresse qu’ils ont beaucoup aimée et qu’ils regrettent de ne plus revoir à l’avenir… d’autant qu’elle prend sa retraite.