3G – Le blogue de la 3ème génération

Dans le spectacle de l’école du cirque Starlight (voir l’article précédent), Céleste portait un costume de guêpe. En outre, dans un article précédent nous avons vu que, il y a bientôt deux mois, Céleste s’était cassée une dent :

Voilà que inopinément, ces deux faits convergent : L’autre jour, Céleste regarde les photos récentes sur mon téléphone portable et revoit cette fameuse photo. Spontanément elle me dit :

« Mais ?! Elle est fausse, cette photo ! »

Puis :

« C’est pas la bonne dent !« 

Pourtant, ça la turlupine… elle sent bien qu’il est peu probable que la photo soit truquée. Elle cherche à comprendre…

Et soudain :

« Ah, mais oui, bien sûr ! C’est parce que je la voyais toujours dans le miroir !« 

En effet, sa dent cassée, Céleste ne la voyait toujours que devant son miroir. Elle voyait donc ceci :

Ce qui lui laissait penser que sa dent cassée était sur sa gauche !

Pas folle, la guêpe !

On pourrait même déceler là une amorce de démarche scientifique : constater une étrangeté / formuler une hypothèse (« la photo est fausse ») / la mettre à l’épreuve et conclure (« elle ne peut pas être fausse ») / chercher une nouvelle explication… qui convainc (« c’est l’effet miroir »). En fait, sans le nommer, elle découvre l’effet de la symétrie par réflexion.

Non, vraiment, pas folle, la guêpe !

P.S (Note du Réd.) : Qui d’entre nous peut prétendre ne s’être jamais fait – même brièvement – piéger par cet effet ?

Depuis ce printemps, Céleste va chaque jeudi s’entraîner à l’École du cirque du Jura qui est gérée et animée par les responsables du cirque Starlight à Porrentruy. La fin de l’année scolaire donnne l’occasion aux participants à ces cours de montrer le résultat de leurs entraînements hebdomadaires. Voici quelques reflets de ce spectacle auquel Céleste a participé malgré le fait qu’elle n’avait à peine qu’un petit trimestre d’ancienneté au compteur.

[Les vignettes représentées ci-dessous ne montrent qu’un aperçu partiel des photos qui sont tantôt horizontales, tantôt verticales. Il vaut donc la peine de cliquer sur une vignette puis passer d’une photo à l’autre ! Voir à ce propos le menu Rappels utiles sous l’image d’en-tête de cette page.]

En accompagnant Céleste à la représentation du dimanche matin, Pauline a pu choisir un meilleur emplacement et ramener de meilleures photos et vidéos :

Quelle joie pour Céleste d’avoir eu sa petite (demi-)soeur comme spectatrice… et admiratrice !

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(Attention : galeries ! Voir à ce propos le menu Rappels utiles sous l’image d’en-tête de cette page.)

Trop et trop peu gâtent tous les jeux!

Cette sentence bien connue s’appliquerait, parait-il, également à notre jardin, plus précisément aux arbres de notre jardin. Arrivés en 1975 dans un lotissement nouveau où les quelques premières maisons n’étaient encore entourées au mieux que d’un début de gazon encore bien rachitique, nous avons souhaité comme les voisins d’aménager nos alentours. Et donc chacun d’y aller de ses aménagements et plantations.

C’est ainsi par exemple que « dans les débuts » notre chemin d’accès était bordé d’une rangée de 5 ou 6 forsythias dont les fleurs jaunes allaient à coup sûr année après année nous annoncer le printemps. Trois érables répartis sur notre parcelle allaient nous assurer des zones d’ombres au plus fort de l’été et abriter la caisse à sable. Pas moins de cinq arbres fruitiers (basses tiges, faut pas non plus exagérer !) et un sapin bleu complétaient l’ensemble. Tout cela se fit peu à peu, au gré des mois et années, au hasard des idées d’un pépiniériste ou de cadeaux d’autres propriétaires.

Vinrent alors deux ou trois phases de révision et réaménagements conçus avec l’aide de professionnels pour s’adapter au mieux aux contraintes pratiques (les feuilles d’érables sont magnifiques sur les drapeaux canadiens mais forment en automne une couche de feuilles mortes redoutable ! et les aiguilles d’un piracantha voisinent mal avec une place où l’on joue à la balle !), à l’évolution des nos goûts ou à des contraintes pratiques (pour créer une place de stationnement pour une seconde voiture et installer le portique des balançoires, le séchoir à linge a dû déménager et donc chasser deux arbres fruitiers qui manquaient d’ensoleillement.

C’est ainsi qu’un jour tomba le verdict : le pin noir, le mélèze et le bouleau sont devenus trop … il faut les enlever. Devant la cour du forestier-bûcheron appelé à la rescousse, le bouleau obtint le sursis (il serait sévèrement rabattu) et la tyrolienne fut sauvée, moyennant qu’env. un quart des troncs du mélèze et du pin restent en place. La base du pin pourra même se prêter à l’aménagement d’une sorte de plateforme élevée avec un accès depuis le sol.

La sentence fut appliquée en deux temps.

Le 6 avril, avec des moyens légers (une plateforme élévatrice tout de même), le bouleau subit une réduction de taille et de volume conséquente. En même temps le mélèze fut dépouillé d’un grande partie de ses branches basses.

Puis le 6 mai avec des moyens bien plus conséquents et une emprise sur les routes du quartier qui avait nécessité moults démarches et requêtes d’autorisation

Quelques coup d’oeil originaux et inédits au cours des travaux.

Important travail que de « démonter » un arbre ainsi morceau par morceau, chacun de ces morceaux étant assuré et enlevé successivement par la grue dont le grutier doit avoir à chaque fois une estimation du poids de la partie à enlever. On imagine la coordination nécessaire entre ces intervenants ! Et fin des journée arrivent les camions de Thermobois qui font place nette en déchiquetant et évacuant aiguilles, branches et troncs !

En ce dimanche 8 mai, nous nous trouvons éparpillés sur plusieurs lieux, en quelque sorte chacun sur son terrain. À savoir :

Jordann, Sabrina et Fabien

Présents la veille à l’anniversaire des jumeaux, ils ont bien entendu dormi chez nous. Dans l’après-midi, après avoir encouragé cousins ou neveux dans leurs avctivités sportives (voir ci-dessous), ils sont rentrés à Plan-les-Ouates.

Certes, à la fête de samedi chez Tata Pauline, il y avait du monde et beaucoup d’enfants, c’était très animé et Jordann en a bien profité. Mais comment expliquer que le lendemain après-midi, sur le chemin du retour, juste après avoir dit : « Moi, je ne vais pas dormir », il cède, et que le soir encore, il soit bien fatigué chez Nonna et Nonno ?

C’est que ce dimanche-là, il va voir ses cousins « se déguiser » en sportifs

Enzo, ses frères et soeur, Pauline et Axel

Enzo est engagé à Fontenais avec son équipe de skater-hockey du SHC Ajoie dans un match contre l’équipe de Léchelles (FR). Rappelez-vous qu’Enzo a très rapidement complêté sa carrière de joueur de hockey sur glace par une carrière de joueur de skater hockey. Retrouvez ses débuts ici

Autour du terrain de Fontenais, les spectateurs (càd. essentiellement les familles et accompagnants des joueurs) peuvent assister au match, se distraire et s’ébattre mais aussi casser la croûte en profitant d’une petite cantine.

Voyons d’abord le côté match (Enzo porte le numéro 59) :

Ensuite, le centre d’intérêt se déplace côté cantine.

Ce jour-là, ce n’est pas le cas, mais il y aurait tout aussi bien pu y avoir au programme un match de foot, que ce soit avec l’équipe de Malo ou celle Robin.

Grands-parents

En ce début de mai, les grands-parents sont quant à eux à des titres divers et pour des durées variables aux abonnés absents.

Grand-maman va aller trois fois et rester deux fois hospitalisée à l’Hôpital universitaire cantonal de Bâle pour quelques jours, le temps d’y passer toute une série de contrôles pour finir par subir une opération par laparascopie.

Grand-papa, lui, passera une dizaine de jours à l’Hôpital du Jura à Delémont pour la pose d’une prothèse totale, cette fois-ci au genou droit, puis une semain à Porrentruy pour la « réhabilitation ».

Triste première : pour la première fois en quinze ans, il ne nous aura pas été possible pendant plus d’un mois d’assurer la garde de nos petits-enfants !