3G – Le blogue de la 3ème génération | Mémoire multimédia

Jordann en vacances dans le midi – avril 2022

Publié le 11 juin 2022 par Grand-papa

La chance de Jordann, c’est que ses parents ont des amis jusque dans le midi de la France. Par exemple à Istres. Or ces amis sont du genre hospitaliers. Cela permet à la famille de passer de belles vacances méridionales dans de bonnes conditions.

En voiture, Istres c’est même pas loin !
Il faut juste se protéger la tête quand il y a beaucoup de soleil.

Cette année, les temps forts de ces vacances sont :

a- les Baux-de-Provence et en particulier son château:

Un brève présentation ? Il suffit de demander :

Le château des Baux-de-Provence est un château fort en ruine et un important site touristique provençal des Baux-de-Provence dans le département des Bouches-du-Rhône

L’extraordinaire château fort semi-troglodytique, situé sur une barre rocheuse du flanc sud des Alpilles dominant le village, est l’un des plus anciens établissements féodaux d’Europe (le castrum Balcium est mentionné dès 975).

En fait le site des Baux a connu une occupation humaine permanente, il a été camp refuge dès le Néolithique et place forte à l’Âge du Fer. Le Moyen Âge et la Renaissance y ont laissé des éléments architecturaux exceptionnels.

Vraisemblablement des x^e, xi^e et xii^e siècles, la forteresse est munie d’un donjon rectangulaire du xiii^e siècle qui est la partie la mieux conservée. Le logis comporte des salles troglodytiques taillées dans le roc.

Il est entouré des tours « Sarrazine », « Paravelle » et de la « tour des Bannes » (« Cornes » en provençal). Il existe également les vestiges d’une chapelle et d’une vaste enceinte extérieure. Les fouilles archéologiques permettent de mieux présenter et restaurer ce haut lieu de l’histoire. Les travaux ont commencé dans le secteur nord où les reconnaissances archéologiques ont été engagées depuis octobre 1991. Ils se sont poursuivis par le dégagement de la zone médiane du Terras et du château des Grimaldi. […]

Et voici deux galeries dont une avec un panorama pour s’en faire une idée :

Voici que l’adversaire attaque à coups de trébuchets !

b – un parc de jeux sur le thème des dinosaures

Il y a tout de même des occupations moins dangereuses (?) possibles :

c – et d’autres jeux encore, par exemple avec les adultes :

Car sachez-le : En réalité ici on ne fait pas que jouer, on teste des prototypes de (futurs) jeux ! Parfaitement ! Y a-t-il plus belle activité de vacances que celle-ci… quand on est mordu ?

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Beau temps au bout du lac – avril 2022

Publié le 3 mai 2022 par Grand-papa

Incontestablement, la météo favorable de ce printemps aura permis à Jordann de vivre des activités aussi nombreuses que variées. Plus bas, quelques reflets fournis par Fabien ou Sabrina :

Bon, certes, au tout début du mois d’avril ça avait plutôt mal commencé :

C’était le week-end des 2/3 avril à Courgenay (voir les deux avant-derniers articles)

Heureusement ça allait bien changer ensuite !

Les joies du bord du lac sous le soleil !

Une visite à la Maison de la créativité suscite et permet toute sorte d’occupations…et de tenues.

Et on s’éclate lors d’une deuxième visite à la Maison de la créativité.

Et pourquoi ne pas continuer à la maison ?

Avec un nouveau lit, plus grand, pour bien récupérer :

Le dimanche 10 avril l’association du quartier de Plan-les Ouates a organisé une activité pré-pascale : une chasse aux oeufs.

Vraiment très actif, ce petit. Et ses parents !

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Enigme et lapins – Pâques – 17 avril 2022

Publié le 1 mai 2022 par Grand-papa

Cette année, la fête de Pâques tombe relativement tardivement en ce mois d’avril et du coup se place à la fois en plein milieu de nos vacances scolaires et aussi entre le 3 avril (voir article précédent) et le 3 mai (voir un prochain article ou alors là). Il y a donc de bonnes raisons pour que tout le monde ne puisse pas être là pour fêter chez nous.

Qu’à cela ne tienne !

Comme de bien entendu, plutôt que les cloches, ce seront les lapins qui caractériseront les décorations spéciales du jour.

Portraits de famille à la mode pascale par Grand-maman.

Ainsi que, bien entendu, les oeufs ! Ceux-ci ont été confectionnés par Pauline.

Toute bonne chose commence par l’apéro… dont Jérôme ne manque pas de faire des photos.

Bien vite les écrans disponibles sont pris d’assaut. Pour jouer ensemble, mais aussi pour dessiner en suivant les conseils précieux de Quentin.

Quand l’apéro touche à sa fin et vient le moment du repas :

Tiens ? Personne ne fait grise mine au menu proposé !

Puis, peu à peu, une certaine effervescence – ou même impatience – se fait jour.

C’est que la coutume s’est peu à peu installée de proposer aux enfants, plutôt qu’une simple course aux oeufs, une sorte de chasse au trésor où il faut résoudre des énigmes pour aboutir au « trésor » convoité.

Les équipes se sont constituées assez rapidement ; on se penche sur les énigmes qui doivent livrer de précieux indices.

De son côté, Céleste a trouvé un autre trésor qui la réjouit beaucoup. En veut en garder une trace :

Une fois pourvus en douceurs, chocolatés ou non, il y a encore du temps pour passer du temps ensemble.

Au final, ce furent de joyeuses Pâques, bien animées. Que souhaiter de mieux ?

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50 ans après le 3 avril 1972 – noces d’or à Mormont

Publié le 30 avril 2022 par Grand-papa

Au soir de l’anniversaire de Quentin, nous nous étions quittés avec l’agréable perspective de nous revoir le lendemain pour le repas de midi.

« – Nous irons manger une pizza au restaurant, je m’occupe de réserver, » avait dit Pauline quelques jours auparavant pour régler l’affaire.

« – Demain, on va au St-Hubert, à Mormont ; je me suis arrangée avec mes frères. On se retrouve directement là-bas à midi, » nous a-t-elle précisé le samedi au moment de nous quitter.

Manifestement personne n’avait revu récemment cet article du blogue qui remontait, il est vrai à 10 ans…

Nous voici donc en ce dimanche 3 avril 2022 convergeant tous vers le parking enneigé (!) de l’Auberge St-Hubert près de Mormont. Fabien et Sabrina, qui ont passé la nuit chez nous, nous suivent, Jérôme et ses enfants sont déjà là, Pauline et famille sont également arrivés. Sur le parking de l’établissement nous apercevons Jean-Marc Frossard. Quelle coïncidence !

Nous entrons dans le restaurant pour constater qu’on nous a réservé une petite salle à part. Il est vrai que nous sommes 14, tout de même.

Et c’est là que … SURPRISE !

Huguette et Bernard, Jean-Marc et Chantal sont bel et bien là avec nous et pour nous.

En fait, Pauline et ses frères ont organisé un repas de fête pour nos noces d’or et ont invité nos amis à se joindre à nous pour la circonstance.

C’était il y a exactement 50 ans, à Rossemaison.

Ce jour-là, il y a cinquante ans, Huguette et Bernard étaient de la partie, mais nous ne connaissions pas encore Chantal et Jean-Marc.

C’est évidemment l’occasion faire quelques photos-souvenirs.

Nous avons, outre le repas et le dessert ad-hoc, droit à un cadeau judicieux et original qui rassemble quelques photos des étapes importantes de ces cinquante années passées:

Le lieu se prête à merveille pour que les enfants puissent s’amuser et s’ébattre.

Voilà une journée au déroulement inattendu, certes, mais qui va laisser des souvenirs…

…autant chez les plus grands ou plus vieux …

…que chez les plus petits ou plus jeunes.

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Quentin fête ses 13 ans – 25 mars et 2 avril 2022

Publié le 29 avril 2022 par Grand-papa

(Attention : Dans la suite de cet article, utilisation de galeries ! Pour les faire fonctionner, consulter le menu Rappels utiles sous l’image d’en-tête de cette page.)

Nous fêtons le 13e anniversaire de Quentin une première fois chez nous le jour exact de ses 13 ans. Laura et lui viennent souper chez nous et au dessert ont droit au traditionnel gâteau, tout aussi traditionnellement préparé par Grand-maman.

Et le samedi suivant, le 2 avril, on remet ça. Cette fois, tous les cousins sont là ; Fabien, Sabrina et Jordann sont arrivés le matin même de Genève. En arrivant chez Jérôme à Courgenay, nous constatons tous que dès le matin, d’importants préparatifs avaient été entrepris :

Sur la grande table, une nappe spéciale qui se prête à être décorée de dessins faits avec des crayons idoines par le jubilaire-artiste qui en sera donc doublement le héros du jour.

Le fait d’avoir ainsi pris soin de préparer une table originale autour de laquelle fêter son anniversaire, dément à l’évidence la déclaration de Quentin qui, à nos voeux de bon anniversaire répondit :

Bah, tu sais, finalement ça ne change pas grand chose : 13 ans, ce n’est que 12 ans et 12 mois !

Nul ne sera surpris de voir quelle particularité a la décoration florale. Au besoin, vous pouvez trouver un indice à même d’éveiller votre mémoire ici.

Tout commence par l’apéro au fil de l’arrivée des convives. Au plaisir de prendre l’apéro – qui a toujours un franc succès auprès des petits… (et pas eux seulement) – s’ajoute la joie de se retrouver (presque) tous (et ça en fait du monde).

Puis on passe à table. C’est l’occasion pour Jérôme d’officier comme photographe :

Certes, la crêpe-party ravit tout le monde, grands et petits, mais au bout d’un moment, les enfants ont terminé leur repas. Pourtant, ils ne quittent pas la table… étrange, non ?

Mais bien sûr ! Ils attendent quelque chose. La suite…

Après le gâteau, soufflé, partagé et dégusté comme il se doit, les cadeaux !

Au cours de l’après-midi qui suit, les cousins s’occupent et se regroupent par affinités ou par centres d’intérêt:

… oui, c’est bien ce matin-là qu’est tombée la première et forte chute de neige en Ajoie de toute la saison!

Axel n’a pas tort de prendre un peu de repos, car le week-end n’est pas terminé !

Vous en saurez plus à la lecture du prochain article !

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Laura et Quentin en ce printemps 2022

Publié le 27 avril 2022 par Grand-papa

Au fil des semaines « régulières » (mettons que ça existe… encore… un (petit) peu) il est évident que c’est Laura et Quentin que nous voyons le moins fréquemment. Le temps passe, les semaines et les mois filent. Nos petits-enfants grandissent. Leurs besoins, leurs envies, leurs centres d’intérêts, leurs horaires, leurs obligations et leurs occupations changent. Nous devons les uns et les autres nous y adapter. Certes, cela ne va pas toujours sans un brin de nostalgie. Mais en même temps, cas échéant, de les sentir heureux de nous rencontrer, de recevoir leurs marques d’affection et de tendresse répétées et appuyées, d’avoir occasionnellement un bref appel téléphonique ou un petit message, c’est un vrai bonheur.

Après l’école, et surtout lors de son seul après-midi de congé, Laura aime passer du temps avec ses copines ou/et avec Rémi ; elle fait du volley-ball (aux dernières nouvelles, non plus à Porrentruy, mais à Vendlincourt) et elle s’applique à bien travailler pour l’école. Grâce à cela, elle a reçu après la fin du semestre un courrier qui l’a à la fois récompensée et encouragée. Elle a eu du plaisir à nous le communiquer :

Depuis qu’il est entré au Collège, Quentin a vu lui aussi sa vie se diversifier. Nouveau lieu, nouvel environnement, nouveaux copains. Il se trouve que cette année scolaire-ci c’est précisément le mercredi qu’il a les cours « de cuisine » et mange à l’école. Si et quand il vient ensuite passer chez nous (un bout de) l’après-midi, ce sera surtout pour rencontrer les cousins et s’éclater avec eux sur leurs écrans. La question décisive lors de l’appel téléphonique du mercredi vers 13 h sera donc : « Ils sont là, les couz’ ? » S’ils n’y sont pas, il passera volontiers à l’Espace-Jeunes à Porrentruy avant d’aller à son entraînement de volley-ball. Quant au travail scolaire, … … Pardon…? Au… quoi ? Certes, la notion est bien là, mais rarement au niveau des priorités premières. L’avantage d’avoir des facilités…

En revanche, il y a des domaines dans lesquels il excelle et se plaît. Voir plus bas !

Coucou , c’est moi ! C’est moi qui l’ai !

Quand on en connait l’histoire, cette photo s’avère assez révélatrice, voir symbolique. La voici : Ce soir-là, à la fin d’une journée passée tous ensemble, Jérôme envoie à tous un message : Quentin et (surtout) lui cherchent la veste « The North Face » de Quentin. Il l’avait le matin pour venir, il est rentré le soir sans cette veste (!). Où pouvait-elle être ? On cherche partout, on remue tout, on fouille partout où il pouvait y avoir la moindre chance qu’elle ait été déposée… puis oubliée. Sans succès. Mais où donc cette veste peut-elle être ? Mystère…

Soudain, voici qu’arrive un message de Laura : Elle envoie cette photo accompagnée de cette seule légende : « C’est moi qui l’ai !«

Grand-maman peut témoigner combien Laura aime chercher, trouver et au gré de l’humeur du moment emprunter des habits qui lui plaisent. Oui, ce n’est pas une blague : même dans la garderobe de sa Grand-maman.

* * * * * * * * *

Le vendredi 11 mars 2022 nous avons l’occasion de réaliser un projet qui devait nous permettre en quelque sorte de compenser en qualité et intensité ce que nous n’avions pas en quantité : Nous allons manger ensemble le soir, à quatre, à l’Hôtel du Boeuf à Courgenay.

Laura aime manger, elle aime bien manger, elle est curieuse et partante pour de bons plats.

Quentin aime bien manger, certes, mais d’autres intérêts peuvent l’en distraire !

Laura est heureuse ; ce soir-là, faire des auto-portraits en faisant la fofolle est sa manière de le manifester.

Nous passons vraiment un bon moment ensemble. L’excellent repas, le cadre, serein et tranquille, est agréable. La discussion est aisée et Quentin a du plaisir à pouvoir en toute quiétude montrer à Grand-maman ses réalisation sur sa tablette, domaine où il excelle.

Incontestablement, nous avons pu échanger, plaisanter, les entendre s’exprimer bien plus que cela aurait été possible un mercredi chez nous en présence des cousins. Objectif atteint

Et expérience à renouveler de temps en temps… aussi longtemps qu’ils seront partant !

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Découverte de Budapest III – 24 au 27 février

Publié le 17 avril 2022 par Grand-papa

En ce matin du samedi 26, – le temps reste beau, le ciel est bleu, serein et clair – nous partons vers le lieu du rendez-vous fixé pour faire un tour de ville en bus à deux étages ; à chaque étape, nous pouvons descendre, visiter et repartir avec un prochain bus. Chacun peut, par des écouteurs, obtenir des explications dans sa langue.

[NB : Comme dans les deux précédents articles, les photos sont pour la plupart rassemblées en galeries. Au besoin, consulter à ce sujet le menu « Rappels utiles » au bas de l’entête. Ces photos gagnent à être affichées et vues en grand format !]

Le circuit parcouru nous permet de revoir des endroits que nous avions traversé à pied ou rejoint en transports publics, mais il nous emmène aussi vers des lieux un peu plus éloignés.

Beaucoup d’informations, un grand nombre d’endroits, de bâtiments ou de points de vue marquants, nous faisons le plein d’impressions riches et variées.

Par la suite, dans notre programme, les aspects touristiques céderont un peu la place aux envies « commerciales » ( il y a plusieurs grands magasins ou centres commerciaux qui se prêtent à merveille au « shopping » et parmi nous plusieurs adeptes de ce genre d’activités (Enzo ou Axel n’en n’étant pas les moindres !).

Nous serons frappés aussi par exemple :

• par la profondeur à laquelle se trouve le réseau de métro (d’où d’interminables rampes d’escaliers roulants qui semblent descendre aux abîmes !)

• dans les transports publics, ni les aînés, ni les enfants ne paient !

• par les dimensions de la gare principales sur Pest pour un nombre de lignes plutôt limité. (C’est par cette gare que de nombreux Ukrainiens fuyant la guerre arriveront en terres européennes.)

Dimanche 27. Pour ce dernier jour, sortie à Pest (voir ci-dessus).

À plusieurs reprises nous passons sur les quais du Danube qui appellent littéralement à l’arrêt-photo-souvenir !

Le dimanche en début d’après-midi, nous retournons manger au Ape Regina Etterem, un grand restaurant présentant des buffets de mets italiens qui a plu énormément, notamment aux enfants. En raison de la qualité des mets, certes, mais aussi (et surtout ?) par l’originalité de la formule qui permet aux jumeaux aussi d’aller se servir selon leurs envies.

Dans l’après-midi, nous regagnons l’aéroport pour le vol de retour. Tout se passe bien et la fatigue commence tout de même à se faire sentir. Or demain, l’école reprend…

Ainsi se termine une escapade qui par bien des aspects aura été bienvenue et aura fait du bien. C’est vraiment pour nous une chance de pouvoir ainsi de temps à autre et quelques jours durant, vivre à plein temps avec nos enfants et leurs enfants.

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Découverte de Budapest II – 24 au 27 février

Publié le 16 avril 2022 par Grand-papa

En réalité, c’est surtout au lendemain de notre arrivée, lorsque nous sommes sortis pour une première balade en ville, que nous avons mieux apprécié le site de notre appartement.

Dans la documentation de cet appartement, il est nommé : Ékszerdoboz A Budai Vár Alatt, ce qui, selon les traducteurs en ligne, signifie : Boîte à bijoux sous le château de Buda ! Notre appartement se situait à l’étage dans l’aile gauche. Nous sommes à moins de 100 des rives du Danube.

Nous partons donc à la découverte de la ville en commençant par les quais du Danube. À pied, en tram, parfois en métro, nous nous baladons dans ville dont l’important passé de capitale ou co-capitale de l’Empire auto-hongrois des Habsbourg se lit jusque dans l’importance, la variété architecturale et dans la richesse de l’ornementation des maisons des centres autant de Buda que dans celui de Pest sur la rive opposée.

Pour la suite de la journée, nous restons à Pest et nous dirigeons vers la place des héros où se trouve le Château de Vajdahunyad construit au centre de l’étang de Varosliget (aujourd’hui en grande partie comblé) et reconverti en musée entouré d’un énorme parc.

Est-il étonnant que toute la famille, hormis les grands-parents, s’en donne à coeur joie et s’amuse comme de vrais petits fous sur cette patinoire ?

Par chance, le bâtiment sur la gauche abrite un restaurant (ou plus exactement : un café) retapé pour y recréer le cadre et l’ambiance y ayant prévalu à la Belle Epoque de l’apogée de l’Empire austro-hongrois. Que pouvaient souhaiter de mieux les grands-parents ?

Retour ensuite à Buda – le réseau de métro et tram est très utile, bien conçu et apprécié – où nous nous arrêtons pour faire des courses non loin de l’appartement et juste à côté de :

Repos bienvenu et mérité après une journée bien remplie.

À suivre encore…

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Découverte de Budapest I – 24 au 27 février 2022

Publié le 14 avril 2022 par Grand-papa

Un hiver entier à peu près sans neige – en tout cas en Ajoie -, des virus – covid ou autres – qui fatiguent et rendent malades à répétition (nos petits-enfants en ont tous été victimes), une pandémie qui manifestement se calme et une semaine de « vacances blanches » qui ne le sera certainement pas, faute de neige en plaine… toutes les conditions étaient remplies pour donner envie à Pauline et Axel de partir quelques jours sous d’autres cieux. Ils n’y tenaient plus.

Après avoir bien analysé les possibilités offertes par les horaires de travail d’Axel – qui n’a pas de vacances – et procédé à une savante étude croisée des horaires de vol des compagnies « low cost » au départ de Bâle-Mulhouse, Pauline réussit à combiner une escapade de quelques jours vers… Budapest. Quelques clics plus tard, elle a même déniché un appartement à louer pour la durée du séjour qui paraît assez grand et bien fourni, qui est bien situé dans le centre et qui offre toute la place voulue pour que nous puissions les accompagner ! Adjugé !

C’est ainsi que le jeudi 24 février en fin de journée, nous partons tous en voitures vers l’EuroAirport pour embarquer à destination de la Hongrie.

Il se trouve que c’est ce même jour, au matin -heure locale–, que la Russie déclenche la guerre contre l’Ukraine et lance l’invasion de ce pays (qui se trouve être voisin de la Hongrie) !

Arrivée à Bâle et embarquement au soleil couchant sous l’auspice d’un arc-en-ciel.

L’image n’est pas sans rappeler une scène toute semblable, il y a quatre ans, quand nous partions ensemble à Nice. C’était alors le baptême de l’air des jumeaux et l’époque où Enzo était encore persuadé qu’en atterrissant à Amsterdam l’année d’avant, « on s’était crashés ».

Aujourd’hui, ils sont des voyageurs confiants, presque expérimentés (au moins une demi-douzaine de vols chacun) et impatients de ce qu’ils vont vivre.

Dès l’arrivée, comme on pouvait le prévoir, une chose nous frappe : Nous sommes complètement dépaysés par la langue parlée et affichée. Non seulement nous ne trouvons pratiquement pas de similitudes avec le français pour nous fournir des points de repère, mais nous discernons très mal en quoi ce qui se dit peut correspondre à ce que nous voyons écrit !

Par ailleurs, il n’est certes pas loin de 21 heures, mais il fait nuit noire. Forcément, puisqu’ils sont dans le même fuseau horaire que nous et pourtant 1000 km plus à l’Est !

La suite s’enchaîne comme prévu : Un appel téléphonique de Pauline – qui se débrouille en anglais comme si elle avait bénéficié d’un séjour linguistique elle-aussi -, et le Van commandé vient nous chercher pour nous conduire à l’appartement en ville. Le temps de poser nos bagages et nous ressortons pour nous mettre en quête d’un endroit pour souper.

À quelques centaines de mètres de notre logement, nous trouvons un chouette restaurant dont le décor pré-annonce ce qui fera l’essentiel de sa carte de menus.

Pas de doute, nous ne sommes pas loin du « Bastion des Pêcheurs » !

Ce qui fournit l’inspiration utile aux dessinateurs !

…nous sommes servis. Le menu est « couleurs locales »

Avions-nous déjà payé un repas coûtant env. 46’000 unités ? Il s’agit de florins hongrois !

De retour à l’appart’…

Regroupés dans le même lit pour ne pas manquer et bien profiter de la traditionnelle suite de l’histoire racontée par Grand-maman.

À suivre…

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Opération « pieds de chèvre » – mars 2022

Publié le 26 mars 2022 par Grand-papa

Camps de skis pour les plus grands, le printemps et Pâques en point de mire pour tous, des travaux d’aménagements importants chez Fabien et Sabrina qui touchent à leur fin, quelques passages d’ennuis gastro-covido-grippaux pour les uns puis les autres, un anniversaire à venir pour Quentin, des contrôles, évaluations ou dictées pour la gent scolaire, bref on était en plein dans le train-train (quasi-)quotidien.

Soudain, totalement à l’improviste, un message nous arrive qui fait l’effet d’une bombe ou d’un coup de tonnerre dans un ciel bleu.

Bon sang, mais c’est bien sûr ! Les pieds de chèvre !

LA fameuse pâtisserie qui accompagne chaque année disons la période de Carnaval – un peu prolongée – et qui a toujours un succès fou dans notre famille. Qu’en était-il des pieds de chèvre 2022 ?

Seulement voilà, celui ou celle qui aurait cru que ce cri de défi ou d’angoisse ou d’incrédulité, voire de protestation (genre : « Pas de pieds de chèvre, cette année ? Mais voyons, c’est impensable ! ») allait prendre Grand-maman en faute ou au dépourvu, se serait lourdement trompé(e) !

En effet, pas plus tard que le lendemain :

Un plein panier de pieds de chèvre diffusait une agréable odeur d’anis.

Et mieux encore :

Tout était prêt pour un partage et une distribution « tous azimuts » qui n’allait laisser personne démuni.

Pas même ceux qui ne recevraient leur part que par le canal postal exprès ! La boîte du futur paquet est là.

Ok. Tout baigne…

Quoique…, à y regarder de plus près, je me demande : Quel peut être – en gros, ne soyons pas mesquins – le pourcentage de pieds de chèvre qui restait disponible dans le panier pour être consommé ici sur place ?

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