(Article complété par deux photos le 28 sept. 2023)
Comme le bon sens (et au besoin le dernier article) le laissent deviner, l’arrivée prochaine d’un bébé nécessite quelques réaménagements dans la répartition des chambres aux Vieilles Oeuches 9. L’agrandissement qui y avait été construit au rez-de-chaussée pour créer une salle de bricolage est devenu la nouvelle chambre d’Enzo. Robin sera dès lors installé dans ce qui était la chambre d’Enzo et les jumeaux déménagent dans la chambre ainsi libérée :
la nouvelle chambre de Malo et Céleste
la nouvelle chambre de Robin avec un grand lit double
la chambre du futur bébé qui s’aménage peu à peu
La chambre d’Enzo et ses deux sorties directes. (Agrandir en cliquant !)
Et tant qu’à faire le virus des aména-, chan- et déména-gements s’étend ; il suffit pour cela qu’une armoire change de domicile :
Heureusement, la main d’oeuvre entraînée ne manque pas et se met volontiers à disposition.
Corollaire inévitable : il faut trier… et parfois jeter.
Impensable encore il y a peu, une bonne partie des plus anciennes peluches que Pauline avait tenu à garder a pris le chemin de la benne à la déchetterie. Mais le grand lapin a été gracié (voir fin de l’article précédent)
Pour autant, l’attrait, voire la passion, pour les doudous ne se perd pas dans la famille. Pour preuve :
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Parmi les aménagements et travaux répétitifs, il y a l’entretien du jardin dont les résultats sont spectaculaires surtout quand ils ont pour objectif autre chose que la seule production. Celle-ci subit bien entendu les aléas de la météo et ne rend donc pas toujours justice à tous les efforts, ni aux soins ou au travail investi. (Bien heureusement ce n’est pas le cas cette année !) – Cliquer pour agrandir !
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Tout ce remue-ménage a-t-il perturbé ou donné des envies à Néo ? Toujours est-il quelques fois durant ces vacances, Néo a fugué et a fini par venir chez nous ! Alerté par une voisine qui l’a vu et a cru le reconnaître ou aperçu sur notre terrasse (et surtout entendu, tant il haletait fort sous l’effet de la canicule), il n’a manifesté aucune réticence à venir « boire un coup » chez nous avant de rentrer sans rechigner.
Cette fois-ci, c’est Axel qui est venu le rechercher. Néo n’a pas fait mine de vouloir refuser le taxi !
Pas de soucis de ce genre avec les chatons de Barbotine qui passent les derniers jours avec elles avant d’aller rejoindre leur futur domicile.
Céleste en prend soin et les nourrit chaque génération à son étage !
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Robin, qui adore traîner à l’école ou s’y rendre bien avant l’heure…(pour faire du foot avec les copains !) a également d’autres cordes à son arc. Il adore dessiner et se donner de la peine pour bien réussir (c’est pourquoi il aime dessiner en présence de son cousin Quentin). Exemple :
Mais n’allez pas croire que c’est foot ou dessin seulement. C’est aussi écrans (!) et sport encore :
Suivant les traces de son papa et de son grand frère, il se met au skater-hockey au SHC Ajoie (Fontenais)
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Pour clore ce pot-pourri d’impressions et de souvenirs de la période de vacances, voici une brève vidéo due à Enzo qui se montre simultanément cuisinier, cameraman et baby-sitter (!) :
Tout cela, le portable à la main ! (Est-ce que Garance mesure bien la performance ?
Oui, mais quel écran ! À bien les regarder, on se doute que ce doit être un écran d’assez grande taille. Autre indice :
En élargissant le champ, on comprend mieux…
Céleste montre les images qui les fascinent :
Les images par échographie de leur future petite soeur ou petit frère. (Cliquer pour agrandir!)
Ils sont évidemment ravis, captivés et impressionnés. Privilège et servitude d’être l’aîné, Enzo a manqué ça car il gardait Garance ; mais il avait déjà eu la chance de découvrir les échographies des jumeaux (et de Robin, mais ça, il ne s’en souvient pas !).
Reste une question…
Réponse (provisoire) :
Le même soir, ils sont venus les trois passer la soirée et dormir chez nous.
D’où sort ce doudou « Gros lapin » qui semble de plaire dans le lit qu’il occupe ? – À suivre… –
C’est au mois de janvier que Janus (le dieu romain aux deux visages) donne son nom. Pourtant c’est bien le mois de juillet – avec la première moitié d’août (donc la période des vacances d’été) – qui a le plus cet aspect de deux visages opposés, de réalités diverses qui co-existent.
Par les vacances scolaires la grande majorité des enfants se trouvent libérés de leurs horaires habituels. Cela à la fois impose aux parents de prendre leurs enfants en charge, mais en même temps leur permet d’envisager des activités en famille, partir ensemble en voyages pu faire des excursions p.ex. Ils tendent donc à prendre également leurs vacances. Les activités de la vie sociale, culturelle et économique se mettent peu à peu au diapason et vont tourner au ralenti. Commerces et administrations se mettent à l’heure d’un horaire allégé. Certaines entreprises ferment pendant quelques semaines. (Dans les régions où les diverses entreprises sont fortement dépendantes les unes des autres, elles vont fixer leurs vacances en même temps, d’où les vacances horlogères.)
En même temps et par voie de conséquence, d’autres secteurs voient leurs activités tourner à pleins rendements : les transports, les loisirs, le tourisme, le sport, les restaurants pour ne citer que les plus évidents. Villes et sites touristiques croulent sous les foules de visiteurs. Hôtels, auberges, gîtes, refuges et campings sont pleins. Les moyens de transports collectifs ou privés déplacent des nuées de monde. Les festivals et concerts se multiplient etc
Tout cela est largement favorisé ou au contraire brutalement contrecarré par les aléas – voir les excès – de la météo : températures caniculaires (sur toute la planète), sècheresses (Ouest des USA, centre de l’Espagne), feux de forêts (Québec, Grèce, Aquitaine, vallée de Conches), inon-dations, raz de marées et tsunami, laves torrentielles et éboulements, tornades et tempêtes (La Chaux-de-Fonds) ont tour à tour fait les grands titres dans la presse et les médias.
Contrastée, mais dans une mesure beaucoup plus réduite, telle a aussi été cette période de vacances pour nous.
En plus de la découverte ou la re-découverte de régions ou de lieux intéressants et attractifs, il tient à forger autant que possible des souvenirs communs de moments vécus et partagés avec ses enfants… même en sachant par expérience personnelle – et pour cause ! – que ceux-ci ne les apprécieront mieux et à leur juste valeur que quelques années plus tard.
• Les vacances de Pauline, Axel et famille
Partir– Les vacances d’été c’est tout de même encore l’occasion de partir, de voyager, de visiter des régions « d’ailleurs » et d’y passer du bon temps, bref de se « dé-payser ». C’est ce que Pauline, Axel et leurs enfants on fait
Ce début d’été s’étant avéré caniculaire, l’incitait forcément à des sorties-baignades ou – sports aquatiques. C’est ainsi qu’ils ont découvert les plages et rives du lac de Neuchâtel dans les environs de La Tène, non pour y faire des fouilles archéologiques (le site est célèbre et même de renommée mondiale pour l’étude ces civilisations néolithiques du 2e âge du fer)
Visiblement, l’activité en vogue actuellement, c’est le « paddle » ou « stand-up paddle » (on ne dit plus « planche à rame », c’est trop ringard !) À l’origine, cela consiste à se déplacer sur l’eau en restant (en principe) debout sur une planche (ou un équivalent) et en ramant. Mais on s’aperçoit vite que, dans un cadre familial par exemple, le « co-voiturage » est très en vogue… pour la plus grande joie des plus petits.
Pour Malo, une joie supplémentaireIl revoit sa marraine Edith qui les rejoint avec sa famille.
Retourner à Labenne – Une bonne expérience, ça peut se renouveler… et se partager. C’est ainsi que Pauline et famille non seulement repartent à la fin du mois de juillet pour un séjour au lieu même où ils avaient passé de belles vacances l’an dernier, mais y vont avec des amis (Camille et sa famille ainsi que Adeline, Tony et leur famille) :
Cette année, ils passent par le Périgord (la région de Sarlat) et s’arrêtent au pied du château de Castelnaud le temps d’un repas et d’une visite.
le château de Castelnaud
Un prochain article sera consacré aux vacances de Fabien, Sabrina et Jordann
Plan-les-Ouates, ce n’est certes pas la porte d’à côté, mais tout de même, c’est le même fuseau horaire et le même calendrier que nous. On y passe donc par les mêmes échéances à peu près en même temps. C’est vrai par exemple pour la fin de l’année scolaire et la coupure des vacances d’été dans la vie des familles.
Photo de classe de fin d’année scolaire : Ecole de Champ-Joly, classe d’Alexandre.
Anniversaires d’Ilan et de Fabien fêtés simultanément le dimanche 25 juin.
Avant les vacances, Jordann, à la demande de Grand-maman, lui a fait un dessin qu’elle pourra le montrer à Tadeos (orthographe non garanti), un enfant ukrainien dont elle s’occupe et qui a de la peine à comprendre. La consigne, c’est une ambulance et un crocodile.
Bingo ! Tout y est : l’ambulance avec les feux typiques et le malade transporté, le crocodile à la peau verte.
Pour Jordann, l’arrivée des vacances se marque par le Diabolo Festival pour enfants au Théâtre de Beausobre à Morges (voir l’article du 30 juin 2022 pour l’édition de 2022). Ce festival propose un concert de Henri Dès le 24 juin,
…et puis Jordann y retrouve les activités qu’il avait appréciées un an plus tôt.
(l’escalade en version animée, c’est un peu plus impressionnant encore)
Etant donné que la première semaine de juillet a été marquée par des journées aux températures caniculaires – à ce jour les plus chaudes jamais enregistrées – , il y a une activité qui s’impose :
Vendredi 30 juin 2023 – Nous sommes conviés à aller avec Jérôme (et Quentin) souper chez Pauline et famille.
Après le repas, Pauline et Axel nous parlent d’un jeu d’énigmes que Enzo, Robin, Malo et Céleste avaient été incités à résoudre un peu plus tôt dans la journée.
Les réponses à ces énigmes proposées aux uns et aux autres finissaient par donner un série de nombres qui se sont avérés indiquer un intervalle de dates : 6 – 9 janvier 2024.
Puis Céleste nous montre une carte qu’elle avait reçue :
Ses frères ont reçu la même avec la question : Est-ce que tu veux bien être mon grand frère ?
À bon entendeur…
La nouvelle est extraordinaire, heureuse et tellement réjouissante. D’autant plus que finalement tous les examens médicaux donnent des résultats rassurants, positifs et encourageants.
Le lendemain, à la fête d’anniversaire de Jérôme, quelques autres personnes sont mises dans la confidence (Fabien et Sabrina) en toute discrétion.
Puis quelques jours plus tard, on trouve sur les réseaux sociaux :
Voilà, c’est original et amusant, mais surtout c’est désormais officiel et public ! Plus de raisons de retenir cet article. Les réactions ne se font pas attendre :
Considération tout à fait marginale, mais bien caractéristique : Il est proprement stupéfiant de voir par quels canaux inimaginables une nouvelle peut circuler et se répandre ! À quelle vitesse et par quelles voies nombreuses ou détournées et aussi diverses qu’imprévisibles elles peuvent se propager. Juste un exemple : une de nos proches voisines en a eu connaissance par un canal passant par Courtedoux… ???…
C’était inéluctable, bien entendu ! Après avoir fêté nos noces d’or l’an dernier, nous allions inévitablement en arriver là : les anniversaires « à gros chiffres ronds » de nos enfants. Cela ne nous rajeunit pas, certes ; mais comment nos petits-enfants pourraient-ils grandir sans que le temps avance à la même vitesse absolue pour leurs parents – nos enfants – et pour nous ? Alors prenons de manière décidée le parti de voir là une marche en avant et fêtons-les, fêtons avec eux.
Depuis 1 ou 2 jours, Grand-maman coupe, découpe, plie, colle, assemble et manipule des papiers de couleur.
Sur la table s’accumulent ce qui commence à apparaître comme des éléments de décoration.
Le matin du mercredi 28 juin – le jour J -, Grand-maman emmène tout cela et file à Alle pendant que Jérôme a encore des cours à donner. Le soir même il va fêter son anniversaire avec ses collègues. D’ici-là elle aura pu mettre en place autour de sa maison les décorations qu’elle avait préparées.
Comme le raconte Jérôme : Pour ce jour d’anniversaire, j’avais invité mes collègues à venir prendre un apéro (dînatoire) chez moi. J’ai donc terminé le travail un peu plus tôt afin de pouvoir tout préparer. En arrivant, j’ai découvert que grand-maman voulait me faire la surprise de décorer les alentours de la maison !
Elle n’avait pas prévu que je rentre si tôt ! Mais la surprise a bel et bien été là !Et cette belle décoration a fait son effet !
Selon la même formule de l’apéro dinatoire, nous nous retrouvons en famille chez Jérôme. Famille élargie en fait, puisque quelques un(e)s de ses ami(e)s sont là également. On reconnaît ainsi :
Huguette et Bernard (le parrain de Jérôme), Joséphine…
…Isabelle Froidevaux (Jolidon) dont la fille Léna est la filleule de Jérôme…
Joëlle Chapuis (Hanser)
C’est un vrai plaisir que de revoir et de pouvoir échanger ainsi avec des personnes bien connues mais que nous avions un peu perdues de vue.
Avec Jordann et Fabien : à gauche Gabin, fils de Joëlle et à droite Noé, frère jumeau de Léna.
Arrivés un peu plus tard, Raphaël Breuleux et sa famille…
…qui se joignent à plusieurs garçons jouant au volley-ball.
Céleste n’est pas trop fan de volley-ball, elle préfère s’amuser avec d’autres filles (ici, Léna)
Jérôme a évidemment des cadeaux à déballer…
…dont l’un – fabriqué par Pauline – devra recevoir quelques soins chez nous.
Jérôme a reçu un autre cadeau qui devrait normalement faire parler de lui dans un prochain article de ce blogue. Mais, chut … à suivre !
Les activités extra-scolaires qui se suivent, les horaires qui s’allègent, les cours à la piscine etc, pas de doutes, ça sent la fin de l’année scolaire qui approche à grand pas. Cette fin d’année sera synonyme d’étape importante pour Enzo – il termine sa scolarité obligatoire et a choisi d’entrer au lycée -, pour Malo et Céleste – ils passeront dans un nouveau cycle de l’école primaire -, pour Robin – il entrera dans la dernière année de l’école primaire, celle qui l’orientera vers l’école secondaire -. Etape importante aussi pour Pauline qui va terminer sa formation d’enseignante spécialisée à la HEP.
Peu d’images seulement pour illustrer ces étapes :
Enzo en grande tenue pour la soirée-bal des élèves sortants d’école.
In extremis, pour tenir une promesse faite, Enzo envoie quelques vues de leur course de fin de scolarité au Tessin (plus exactement à Bellinzone). Ce (dernier) jour-là, ils font une marche dans le Val Verzasca.
Quelques jours plus tard encore, après en outre un match de skater-hockey éprouvant, il aura le contre-coup des ces jours fatigants !
Robin et Malo accompagnent leur Maman à la cérémonie de clôture de l’année à l’Ecole secondaire à Vicques :
Les « poissons japonais » suspendus comme décoration ont été achevés par Pauline et Grand-maman
Laura, qui décompresse avant sa dernière semaine – elle la passera en stage à la crèche à Courroux avec et grâce à Axel – , passe un dimanche après-midi chez nous. Moment privilégié pour prendre le dessert et discuter un peu.
Quelques jours avant notre départ pour Bruxelles, c’est Quentin qui passe l’après-midi chez nous :
Mais lui, il a besoin d’une sieste avant d’aller faire du volley-ball.
Il est assez content de son projet de « Machine à lever les élèves le matin »
Et pendant ce temps, les petits chatons de Barbotine grandissent, progressent et commencent à découvrir leur environnement proche. (agrandir !)
Le voyage des 10 (+3) ans de Quentin et Robin, fin (voir les deux articles précédents).
Samedi 24 juin – Atomium et BD
Le déjeuner-buffet de la veille avait été tellement concluant, que cette nouvelle journée allait nécessairement commencer de la même manière. Ou presque. À un détail près :
Leurs tenues !
Le contenu des assiettes n’a pas tellement changé. Et leur appétit non plus.
Heureusement, ils ont la sagesse d’opter pour une tenue plus pratique et vont se changer avant de quitter l’hôtel.
• l’Atomium (texte d’après Wikipedia)
L’Atomium, construit à l’occasion de l’Exposition universelle de 1958, représente un cristal de fer (structure cubique centrée) agrandie 165 milliards de fois. Il est situé à Laeken sur le plateau du Heysel où eut lieu cette exposition. Symboliquement, l’Atomium incarne l’audace d’une époque qui a voulu confronter le destin de l’Humanité avec les découvertes scientifiques.
C’est un édifice à mi-chemin entre la sculpture et l’architecture qui culmine à 102 m, dont la masse en 1958 est de 2 400 tonnes (2 500 tonnes en 2006). Il se compose d’une charpente d’acier et de trois piliers bipodes portant neuf sphères de 18 mètres de diamètre pour environ 250 tonnes (une à chacune des 8 coins et une au milieu) reliées entre elles par 20 tubes de 3,3 mètres de diamètre (12 de 29 mètres de long pour les arêtes du cube et 2 tubes de 23 mètres de long pour les 4 diagonales) et revêtues, à l’origine, d’aluminium.
Conçu pour durer six mois, l’Atomium n’était pas destiné à survivre à l’Exposition universelle de 1958, mais sa popularité et son succès en ont fait un élément majeur du paysage bruxellois. Il fait donc l’objet d’une restauration et est réinauguré en 2006. La couverture originelle en aluminium a été remplacée par une nouvelle, plus résistante, en acier inoxydable, laquelle, en outre, est tout indiquée pour un monument symbolique du fer. Comme à l’origine, sur chacune des neuf sphères, des réseaux électriques animent celle-ci de points lumineux effectuant de rapides mouvements circulaires qui reproduisent les électrons gravitant autour du noyau atomique.
Sur les neuf sphères, six sont rendues accessibles au public, chacune comportant deux étages principaux et un plancher inférieur réservé au service.
Le Tube central contient l’ascenseur le plus rapide de l’époque (5 m/s) installé par la succursale belge de la firme suisse Schlieren (plus tard Schindler). Il permet à 22 personnes d’accéder au sommet en 23 secondes. Des escaliers mécaniques sont installés dans les tubes obliques, le plus grand mesure 35 m de long.
Des six sphères accessibles au public, la sphère de base est réservée à l’exposition permanente consacrée aux années 1950, l’Exposition universelle et la construction de l’Atomium. Une autre accueille des expositions temporaires, une troisième à vocation polyvalente permet l’organisation de différentes animations, films, concerts, fêtes ou conférences.
Dans la sphère centrale, un bar et dans la sphère supérieure, en plus du panorama, un restaurant. La sixième sphère est la boule des enfants, destinée à l’organisation d’ateliers de pédagogie urbaine, permettant aux enfants de six à douze ans d’y passer la nuit.
Le temps que les garçons se réveillent, se lèvent, se préparent, qu’on ait déjeuné et qu’on ait fait le déplacement (en métro) du centre jusqu’au Heysel, il est 13.30 h quand nous arrivons sur place. Cette construction est véritablement impressionnante et spectaculaire.
De part et d’autre, les bipodes.
Entrée par la sphère de base.
Vue sur un bipode et sa fonction. Au fond à droite on aperçoit les mats d’éclairage du stade du Heysel de sinistre mémoire.
Vue panoramique sur les alentours. Au fond à droite la Basilique nationale du Sacré-Coeur de Koekelberg.
Au pied de l’Atomium, le parc « Mini-Europe » (analogue à Swiss-miniature à Melide TI)
Pour bénéficier de cet endroit – et parce que malgré le bon petit déjeuner, la faim commence à se faire sentir – nous nous installons au restaurant de la boule la plus élevée. Ce sera notre deuxième repas « chicos », constatent les garçons !
• Le Centre belge de la BD
Après cela, l’après-midi est déjà bien entamé quand nous sortons de l’Atomium et revenons à la gare du métro. Ensuite trajet en métro jusqu’au centre à De Brouckère. Reste alors à nous orienter (dans ces villes toutes les plaques de noms des rues ont disparues au rythme des rénovations agrandissement, modernisation ou reconstruction d’immeubles – au grand dam de ceux qui en auraient besoin pour se situer !), à trouver puis rejoindre le Centre belge de la BD.
Nous arrivons enfin sur place entre 17 h 30 et 17 h 40… pour y apprendre que la fermeture est officiellement fixée à 18 h !
Nous avions déjà repéré ça et là quelques indices de l’importance de la BD à Bruxelles :
Les façades – ici sur le chemin vers le Manneken-Pis
Devant certains édifices, ici l’entrée basse vers la Gare centrale et l’hôtel
…ou encore dans la galerie Agora (voir article précédent). Quentin et Robin ont en outre profité au maximum du temps disponible (la fermeture réelle aura en fait eu lieu un peu plus tard qu’annoncé) pour satisfaire leur légitime curiosité en parcourant les étages :
(D’ailleurs, à la fin d’une journée bien remplie, auraient-ils vraiment su en profiter plus ?)
Par exemple d’une trottinette ?
Nous rentrons ensuite à pied à l’hôtel pour – grâce à quelques courses en route – faire un souper « pique-nique » dans les chambres.
Tout près de la Place de l’Europe, la Cathédrale St-Michel et Ste-Gudule
Dimanche 25 juin – Départ et rentrée
En quelques mots : dernier petit déjeuner-buffet | rangement des chambres, remise des « clés » et paiement de la facture | puis : voyage de retour (voir l’avant-denier article, le premier de cette série) :
Trajets Bruxelles Gare centrale – Gare Bruxelles Midi | TGV Thalys Bruxelles Midi – Paris Gare du Nord | Transfert en RER Garde du Nord – Gare de Lyon | TGV Lyria Paris (Gare de Lyon) – sans arrêt – Belfort-Monbéliard TGV
Petit concert de Quentin – le temps d’un pot – à Méroux et nous retrouvons la voiture et le chemin de Courgenay où nous arrivons aux alentours de 17 h. Fin du voyage des 10 (+3) ans de Quentin et Robin.
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[20:59, 25.06.2023] Conus Gigon Pauline: Robin en avait des choses à raconter tant il a aimé ce séjour 🥰 Il a énuméré tous les repas délicieux, les belles visites (il a particulièrement apprécié l’atomium!) , comme gr papa a bien marché (!!!) et comme il va garder de beaux souvenirs et qu’il a des grands parents super 😄 Merci à vous et bon repos ces 3-4 prochains jours
[21:16, 25.06.2023] J-FrC : Merci ! Il faut dire qu’il a été très sympathique et affectueux tout en se mettant bien au niveau de Quentin pour partager idées, activités et goûts. Et tout ça avec le soutien de son doudou-chien ! Trop mignon.
[8:35, 26.06.2023] M-ClC-V : Oui nous avons eu bien du plaisir de partager ces quelques jours avec eux. Reconnaissants et nous remerciant souvent pour les repas « chicos », le bel hôtel et les habits. Oui il a été très chou notre Robinou. J’étais bien contente que tu aies accepté de lui prêter un iPhone. Il a fait plein de photos et a pu envoyer des messages à Enzo et à son papa. Il était pour le coup aussi un grand. Ça passe très vite les journées en ville. On perd du temps pour se déplacer. Mais c’est aussi une expérience de la vie en ville et plusieurs fois ils ont fait remarquer comme ils avaient de la chance de ne pas devoir y vivre. Gros bisous à Robin! Bonne journée à tous!
Le voyage des 10 (+3) ans de Quentin et Robin, suite (voir l’article précédent).
Vendredi 23 juin – Découverte de la vieille ville de Bruxelles
Pour bien commencer la journée, un solide petit déjeuner que l’hôtel propose en buffet !
Eux qui ne déjeunent guère le matin, les voilà qui se préparent des pancakes, des muffins, de la Chantilly !
ils dévorent tout cela de bon appétit.
Et nous voilà partis, cap sur la vieille ville et plus particulièrement son centre. À pied, car ce n’est pas bien loin de notre hôtel. Et par ailleurs il fait beau, le temps est agréable.
• Le Manneken-Pis : (il vaut la peine d’agrandir les photos de la galerie !)
Manneken-Pis signifie « le gamin [qui] pisse » en néerlandais. Statuette-fontaine en bronze de 55,5 cm de hauteur et de 17 kg, construite en 1619 par le sculpteur Jérôme Duquesnoy l’Ancien. Symbole de l’esprit farceur des Bruxellois, de nombreuses légendes circulent à son sujet. Les plus répandues racontent que « la fontaine fut commandée par un riche bourgeois de la ville qui, ayant perdu dans une fête populaire son fils unique âgé de trois à quatre ans, le retrouva au bout de cinq jours au coin de la rue de l’Étuve, occupé à… fonctionner comme il le fait encore » ou encore « elle a été élevée en l’honneur d’un petit garçon qui sauva, vers le XIIIe siècle, la ville de Bruxelles, en éteignant une mèche à feu allumée par des ennemis. Il éteignit cette mèche en l’arrosant dans la position où nous le voyons encore aujourd’hui ». Début 2017, Manneken-Pis possédait plus de mille costumes différents dont le premier lui fut offert le 1er mai 1698 par Maximilien-Emmanuel de Bavière et qui, tous, peuvent être admirés au musée qui leur est consacré. Trente-six fois par an et à dates fixes, un de ces costumes lui est revêtu. De la fontaine ne jaillit pas toujours de l’eau mais parfois du vin ou de la bière comme lors de la fête de la bière. (selon Wikipedia)
Passant presque inaperçu……s’ił n’y avait la foule pour attirer l’attentionTout petit sur sa fontaine, aujourd’hui revêtu de l’un de ses innombrables costumes reçus en cadeau.Toujours entouré par plein de monde.
• La Grand-Place (Grote Markt)
La Grand-Place (Grote Markt en flamand) est non seulement le centre géographique, historique et commercial de Bruxelles, mais aussi l’une des places les plus importantes en Europe. Cette place pavée animée fait partie du plus bel ensemble architectural du XVIIe siècle de Belgique. En août 1695, les canons des troupes de Louis XIV ont détruit une grande partie des édifices de la place qui ont par la suite été reconstruits. Seul l’hôtel de ville, bâti entre 1402 et 1455, est antérieur. La place est considérée par les Bruxellois comme «la plus belle du monde ». L’ensemble est classé comme bien culturel au patrimoine mondial de l’UNESCO depuis 1998 et comprend l’Hôtel de Ville de style gothique brabançon, la Maison du Roi de style néo-gothique et 34 maisons de corporation en style baroque brabançon. (selon Wikipedia)
Arrivée sur la place. Grandiose !
L’Hôtel de Ville
Les Maisons des Corporations.
La Maison du Roi
Maison des Ducs de Brabant
À gauche le Starbucks (apéro) puis sous les Ors, « La Brouette » pour un repas « Burger ».
• tourisme d’achat… ou pas
Le retour, après avoir glané quelques infos à l’Office du Tourisme de l’Hôtel de Ville, se fait par les galeries marchandes (galerie Agora).
Et là, la contamination est quasi-immédiate : Quentin (surtout) et Robin (qui ne veut pas être en reste) veulent faire des achats pour soigner leur look grâce à un outfit de dingue. Le métro M1 les emmène jusqu’à De Brouckère à la recherche de grands magasins de confection. Pour ma part je leur fausse compagnie et regagne la Place de l’Europe puis l’hôtel.
Accès à la gare centrale et à l’hôtel
Repos et détente sur la place.
Robin avait déjà une paire de lunettes de soleil assez « stylées » !
Or parmi les achats, ces lunettes « psychédéliques » pour soirées avec les copains.
• souper « chicos » à l’hôtel
Pour terminer la journée en beauté et étrenner les nouveaux « outfits » nous optons pour un souper « chicos » au restaurant de l’hôtel.
Sous le grand lustre, du hall d’accueil de l’hôtel, on étrenne les nouvelles tenues !
Une bière… en Belgique, ça s’impose !
En attendant d’être servis, un peu de temps à consacrer au leporello.
De même entre le repas et le dessert.
Absolument merveilleux, ce dessert !
Et où vont-ils, comme ça ? À la salle de sport, voyons !
…c’était il y a exactement 6 ans : Du 22 au 25 juin 2017 (!), nous partions seuls, Grand-maman et moi, avec Laura et Enzo – ces « cousins inséparables que parfois on a pris pour des jumeaux » (citation du blogue de l’époque) – pour un voyage à Amsterdam afin de marquer le coup de leur 10e anniversaire. La date avait été choisie pour être à environ 6 mois après l’anniversaire de Laura et autant avant celui de Enzo,
Il allait de soi que nous allions renouveler l’expérience pour les 10 ans de Quentin et Robin en 2020. Par analogie, ce voyage aurait dû se dérouler à la mi-janvier 2020 (le moyen terme entre la fin avril et la fin octobre de l’année suivante) ; il était donc d’ores et déjà évident que ce serait plutôt en juin 2020. Mais c’était sans compter 1-la pandémie due au covid-19 ! Le confinement qui allait en découler repoussait ce voyage de deux ans… et moins encore avec 2-notre double hospitalisation quasi-simultanée à Grand-maman et moi en mai 2022 qui nous coûtera une année de retard en plus.
Finalement nous avons pu fêter les 13 ans de nos choux à Bruxelles durant le week-end du 23 juin (férié), Quentin et Robin prenant chacun un demi-jour de congé à l’école le jeudi après-midi.
• 1a – le voyagealler – Jeudi 22 juin en fin d’après-midi
Nous avons opté cette fois-ci pour le train : TGV « Lyria » entre Belfort-Montbéliard (à Méroux) et Paris (Gare de Lyon) en 2h37′, puis TGV « Thalys » entre Paris (gare du Nord) et Bruxelles Midi (ou : Zuid) en 1h25. En RER, le changement de gare à Paris devait prendre 8′.
Mais dès le départ à Méroux, le train a 15′ de retard (« le matériel n’ayant pas été disponible à temps » !) ; heureusement, il ne met que 2h25′ pour rallier Paris. Seulement voilà, la Gare du Nord est en travaux et le flux des nombreux voyageurs y est dévié par des couloirs, escaliers et passerelles provisoires. Malgré l’aide précieuse d’une Parisienne bien informée et d’un très sympathique Parisien (preuve est donc faite qu’il en existe) qui nous guident, nous n’arrivons dans le hall de départ que 5′ avant l’heure de départ du prochain train ! À la hâte nous cherchons le bon quai, quand arrive une nouvelle annonce : en raison de dégâts à l’alimentation électrique dûs aux intempéries, notre train n’est pas encore là. Il aura la bagatelle de 35′ de retard… qu’il ne rattrapera pas en route. Nous arriverons à 21h30′, c’est-à-dire très en retard, à notre hôtel après avoir parcouru le dernier trajet entre les deux gares de Bruxelles(Zuid et Gare centrale) rapidement et sans encombres.
• 1b – le voyage retour – Dimanche 25 juin dans l’après-midi
On comprendra que la perspective du retour en train avait de quoi éveiller quelques doutes, voire même quelques craintes ! Allions-nous devoir changer de gare à Paris en prenant un taxi ? (À l’aller nous avions appris qu’il fallait compter avec 35 à 40 minutes de bouchons sur le trajet ; au retour, un dimanche après-midi, on pouvait espérer une circulation fluide. Mais se trouverait-il un taxi qui accepte de transporter 4 personnes…?)
En bref, le Thalys est parti avec une dizaine de minutes de retard qu’il n’a pas rattrapé, la Gare du Nord et le RER étaient moins encombrés, mais nous ne sommes néanmoins arrivés sur le quai du Lyria que 5 minutes avant le départ. Le temps de nous engouffrer dans le train par la première porte disponible ; nous avons ensuite cherché nos places dans la rame alors que le train démarrait déjà…
Alors avion ou train pour un trajet comme celui-là ? Expérience faite, la réponse ne va pas de soi !
• 1c – le voyage en quelques images : Méroux et le TGV Lyria
Quentin, voyant de piano qui s’offre, n’est même pas gêné et se lance…
Il sera bien applaudi par les voyageurs qui attendent leurs trains retardés.
Une fois à bord on s’installe.
Au moment de prendre un peu de repos, apparaît un petit passager clandestin bien apprécié ! Robin avait été un peu triste de devoir quitter les jumeaux; il s’était donc « muni » en conséquence.
Chacun a reçu de Grand-maman un leporello de sa production dédié à ce voyage.
Quentin dessine ce qu’il voit : son jeu d’échecs, la fenêtre et le paysage qui défile, le siège en face.
Mais il est aussi friand de ces dessins – ici la tour de son jeu – en mode *ingénieur ».
• 1d – le voyage en quelques images : Gare du Nord et le TGV Thalys
Panne de l’alimentation électrique – les trains ne sont plus au courant !
La confusion est totale : le vendredi 22 juin, soit c’était en 2018 ou ce sera en 2029 !!!
• 2 – l’hôtel à Bruxelles (Hilton Grand Place)
Juste en sortant de la gare centrale…
… de l’autre côté de la place « Carrefour de l’Europe », il y a l’hôtel Hilton
Le Hall d’entrée est majestueux.
Quentin et Robin partagent une chambre non loin de la nôtre.
La carte magnétique « en bois », leur sésame, les fascine.
Ils partent d’emblée en exploration dans l’hôtel et découvrent…
La salle sport !
Ils n’en croient pas leurs yeux… Robin traduit cela en mini-vidéo-découverte à la mode YouTube ou TikTok, en mode djeuns, quoi !
Il semble acquis qu’ils ne vont pas s’ennuyer dans cet hôtel et cela sans même trop solliciter leurs écrans.
(Heu, enfin… pas trop)
Et même en ce qui concerne l’hôtel, ils n’ont pas encore tout vu !
